PV CCE n°16
PV CCE n°16
PV CCE n°16
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
Comité Central d’Entreprise France Télécom SA<br />
réduction. En effet, nous avons des messages directeurs, lesquels sont mis en œuvre sur le<br />
terrain, mais avec des niveaux de réponses très différentes qui tiennent compte des situations<br />
locales. En 2005, nous avons eu essentiellement des mouvements individuels selon les<br />
tranches d’âge et selon les contextes locaux. Ceci s’est traduit pas des mouvements plus ou<br />
moins importants.<br />
C’est ainsi que nous avons préparé sur la dernière page une petite synthèse qui fait un simple<br />
rappel des éléments. Nous vous avions affiché que les prévisions 2005 étaient basées sur<br />
environs – 460 postes dans la fonction RH sur le périmètre ; cela étant cette prévision de - 460<br />
a été déjà revue à la baisse en cours d’année. En fait, tant que la consultation n’était pas<br />
terminée, des éléments comme le redéploiement ne pouvait pas être mis en œuvre et organisés<br />
en amont, soit pilotés de manière plus centrale. Par ailleurs, sur certaines des actions prévues<br />
par le programme, nous nous sommes rendu compte de problèmes sur le fonctionnement de<br />
l’outil. En décalant cette action, il y a un certain nombre de mouvements qui, fatalement,<br />
devait suivre.<br />
Je peux répéter qu’en l’état actuel des données qui nous sont remontées, nous avons plus de<br />
départs naturels que ce qui avait été prévu. En terme de mobilité fonctionnelle, nous avons du<br />
neutre. J’appelle la mobilité fonctionnelle les personnes qui ont changé de métier au sein de<br />
l’entreprise. Nous n’avons pas eu de solutions organisées de redéploiement. En revanche,<br />
nous avons bien eu des mobilités individuelles.<br />
La partie du transfert de ressources entre VSF et ROSI vers DSP n’a pas été totalement<br />
remplie. Il y a eu des transferts d’acteurs, mais pas dans une logique de redéploiement dans un<br />
contexte purement volontaire, ce qui fait que nous ne sommes pas sur le volume escompté.<br />
Je conclurai en indiquant que ces chiffres valent pour une nouvelle situation de départ au 31<br />
décembre 2005.<br />
Jean-Pierre CREUX - CFTC<br />
Vous commencez votre intervention en nous disant que cette diminution d’emploi est due<br />
essentiellement à des mouvements individuels de personnes. Je m’inscris en faux contre cette<br />
allégation. En effet, ce n’est pas la volonté individuelle des personnes des services RH de<br />
quitter leur emploi. Nous savons comment FTSA procède. Vous invitez fortement les<br />
personnes à partir sous prétexte de la précarité future de leur emploi.<br />
Par ailleurs, vous trouvez une explication au centralisme FTSA, alors que les dérapages sont<br />
bien des excès de zèle. En fait, cette politique de management de FTSA entraîne forcément les<br />
chefs de services décentralisés à ne plus jouer leur rôle et à ne plus rendre compte des<br />
difficultés. Ils essayent de faire au mieux dans le cadre des projets qui sont définis de façon<br />
centralisée.<br />
Jean-Claude LORIOT<br />
Je ne pense pas que les personnes qui partent en CFC le fassent avec la baïonnette dans le dos.<br />
Jean-Pierre CREUX - CFTC<br />
Je vous invite à m’accompagner pour faire le tour des services RH. Ainsi, vous saurez<br />
comment le projet a été présenté.<br />
René OLLIER - SUD<br />
Paris, les19 et 20 janvier 2006 60