PV CCE n°16

Comité Central d’Entreprise France Télécom SA
Ce n’est pas parce que nous sommes moins que nous travaillons moins bien. Avec la
réorganisation et le déploiement audacieux sur le service RH et la structuration les espaces de
mobilité en spécialisant les équipes, nous finirons par avoir un meilleur service.
Catherine FREHEL - CFDT
Nous ne nions pas la nécessité de professionnaliser les personnes du CCRH. Il serait
cependant intéressant que vous nous détailliez le pack RH. Vous connaissez un certain
nombre d’indicateurs, vous pouvez donc évaluer dans le cadre du projet quelles seront les
activités du manager et le temps qu’il y consacrera.
Jean-Claude LORIOT
Je répète que notre projet de transformation RH ne consiste pas à transférer des activités sur
les managers.
Catherine FREHEL - CFDT
Les managers RH ne sont pas formés pour agir vers les assistances sociales ou les médecins
de prévention.
Jean-Claude LORIOT
Ces questions ont déjà été abordées hier. Nous nous sommes engagés sur le fait d’étudier ce
problème.
Thierry FRANCHI - CGT
Aujourd’hui, vous utilisez le mot professionnalisation pour supprimer l’emploi. Mais nous
savons bien que c’est une politique d’emploi de non-remplacement des effectifs.
Pour la CGT, nous demandons l’abandon de ce projet, y compris parce que la question RH est
une question sensible et importante pour le personnel. Nous sommes demandeurs d’avoir de
véritables négociations pour améliorer durablement aussi bien le réseau RH que la fonction
RH, et ce, à tous les niveaux.
Claudine KIEFFER - CFDT
J’aimerais savoir comment nous pouvons nous baser sur la réelle implantation des RH sur les
AD.
C’est une excellente idée de supprimer les postes avant et de présenter le projet après. Nous
gagnerons ainsi du temps ! C’est une information intéressante
Jean-Claude LORIOT
J’ai dit qu’il y avait des décroissances de postes partout dans l’entreprise. Par ailleurs, vous
serez consulté dans le cadre de la politique de l’emploi global.
Philippe HOCHIN
Sur la question Business Partner, il n’y a aucune contrainte et demande forte d’avoir un
Business Partner tout seul par établissement. La solution est plutôt une équipe de Business
Partner avec des personnes qui sont au contact direct des établissements plus d’autres
personnes qui pourraient assister pour le traitement des dossiers à long terme. La
Paris, les19 et 20 janvier 2006 70