Die Zauberflöte - cercle lyrique de metz

Cinquième tableau : une voûte de pyramides.
Un chœur de prêtres célèbre l’éclat du soleil qui va chasser la Nuit (O Isis
und Osiris) et annonce la prochaine initiation de Tamino. Sarastro le
prépare à ses dernières épreuves. Pamina, les yeux bandés, est amenée pour
recevoir un dernier adieu de Tamino (trio, Soll ich). Pamina croit à la mort
prochaine de son bien-aimé. Tamino s’en remet à la protection des dieux.
Pendant ce temps, Papageno rejeté comme initié, obtient un verre de vin.
Mais pour être heureux, il lui faut une femme (Ein Mädchen). Il chante en
s'accompagnant de son Glockenspiel. L’horrible vieille femme accourt et
menace Papageno d’être réduit au pain et à l’eau s'il ne consent pas à
l'épouser. Il lui jure alors fidélité et elle se transforme en une jeune et belle
femme. Mais un prêtre les sépare sous prétexte que Papageno ne s'est pas
encore montré digne d'elle. Comme il résiste, il est englouti au sein de la
terre.
Sixième tableau : un jardin exigu.
Les Trois Enfants chantent la victoire de l'aurore sur la nuit (Bald prangt).
Arrive Pamina, décidée à se frapper avec le poignard donné par sa mère
(Du also bist). Les enfants la sauvent et la rassurent sur l'amour de Tamino.
Septième tableau : entre deux parois rocheuses, un passage menant au
lieu des épreuves de l’Eau et du Feu.
Deux Hommes armés conduisent Tamino vers ses deux dernières
épreuves : celle du feu et celle de l'eau (Der, welcher wandert). Tamino se
montre résolu (Mich schreckt kein Tod). Pamina se joint à lui (Ich werde
aller Orten), et le guide à travers ses dernières épreuves. Ils sont accueillis
triomphants par Sarastro et les prêtres (Triumph, Triumph, Triumph).
Huitième tableau : retour au jardin exigu.
Désespéré de ne pas retrouver Papagena, Papageno envisage de se pendre
à un arbre (Papagena ! Papagena !). Les Trois Enfants apparaissent pour
lui suggérer d'utiliser son Glockenspiel pour attirer sa compagne. Elle
arrive et le couple se réjouit de la venue prochaine d’une nombreuse
progéniture (Pa…pa…pa…pa).
Neuvième tableau : galerie avec trappes, d’où sortent la Reine de la
Nuit, les Trois Dames et Monostatos.
À la faveur de l'obscurité, Monostatos mène la Reine de la Nuit et ses
dames vers le temple pour une dernière tentative contre Sarastro, avec
l’espoir d’obtenir la main de Pamina (Nur stille, stille).
Dixième tableau : la scène « se transforme tout entière en un soleil ».
Dans un bruit de tonnerre et la lumière des éclairs, les conjurés sont
engloutis dans les ténèbres (Zerschmettert). Le ciel est alors inondé de
lumière (Die Strahlen der Sonne), Sarastro et le chœur des prêtres
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