Bis am 31. Juli 2010 Eingereichte Anträge zum ... - SP Schweiz

38 Eingegangene Anträge zum Parteiprogramm – GL-Sitzung 20. August 2010
Anträge zum Titelblatt, Vorwort und „Aufbau und Gliederung“
A-44 : SP Ittigen, Haupttitel des neuen Parteiprogramms
Titelblatt „Gegen den barbarischen Kapitalismus – für den demokratischen Sozialismus!“
A-45 : SP Ittigen, Kapitel „Aufbau und Gliederung“
Letzter Satz „... die Leitlinien für das tägliche politische Handeln abgeben müssen.“ (Nicht
nur „können“!).
A-46 : SP Zürich 5, Vorwort, 1. Absatz, 5. Zeile
streichen und ersetzen: .... Die Erneuerung Durchsetzung der Sozialdemokratie ist unverzichtbar,
damit ...
Begründung: „Die Erneuerung der Sozialdemokratie...“ ist ein irritierender Begriff. Kann
man die Sozialdemokratie erneuern?
A-47 : PS Ville de Genève, préface, 1 er paragraphe
page 3 : ajouter à la fin du 1er paragraphe: « Un des objectifs du programme consiste
notamment à reconquérir l'électorat du PSS »
A-48 : SP Seftigen, Vorwort, 2. Absatz
Das Parteiprogramm ist verständlich und substantiell sehr umfangreich. Den Zeithorizont
von einer Generation finden wir in der heutigen schnelllebigen Zeit zu lang gewählt (Vorwort
S. 3).
A-49 : PS Vaud, remplacer le préface par le texte suivant :
« Le monde entier est en proie à une crise profonde. Il est devenu la proie du système
capitaliste, qui a pour but l’enrichissement de quelques décideurs et prédateurs par
l’accaparement de la plus-value créée par les travailleuses et travailleurs, qu’ils soient
salariés, agriculteurs ou indépendants. Ce système a pour but de déposséder celle et celui
qui pour vivre dépend de son travail, non seulement d’une large part du fruit de son labeur,
mais aussi de sa liberté, de son libre arbitre, de sa dignité.
Dès le 16e siècle, le capitalisme a mis en coupe réglée une part toujours plus importante
de l’humanité. Pillant, spoliant, détruisant, massacrant sans compter, la liste de ses forfaits
est sans fin. Dans cette lutte permanente, les peuples colonisés se sont rebellés face à une
répression sans merci. La classe ouvrière du monde industrialisé a su dégager quelques
précieuses avancées sociales par une lutte permanente dans laquelle la bourgeoisie ne lui
a fait aucun cadeau. Ainsi ont été obtenues les assurances sociales, l’aménagement du
temps de travail, le droit à la formation et à l’éducation.
Dans les années soixante, Milton Friedman s’est rendu célèbre pour avoir fourni à la bourgeoisie
une assise théorique, le monétarisme ou néolibéralisme. Cette base idéologique a
donné des ailes aux privilégiés. Depuis, c’est le règne avoué de la cupidité et de l’avidité
érigées en valeurs suprêmes, avec pour corollaire la dégradation des droits sociaux, la
haine des pauvres et le mépris des peuples, les ravages parmi les ressources vivrières et