Gemüsebau Ausgabe 5 / 2012 - eppenberger-media gmbh

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35105/2012 –5.10. 2012 – der Gemüsebau /LemaraîcherWir sind Bio- Gemüseproduzenten mit ca. 75 ha Freilandanbauflächeund gut 2hageschütztem Anbau. Wir suchen per sofort oder nachVereinbarung einenGemüsegärtner oder Landwirt mitErfahrung im Gemüsebau (m/w)Wir bieten:–Abwechslungsreiche Aufgaben im GH und Freiland–Kulturführung mit Setzlingsanzucht und Aufzeichnungen–Naturnahe Produktion im sonnigen Zürcher Oberland–Gut geregelte Arbeitszeiten und attraktives SalärWollen Sie mehr wissen? Infos auf www.gerber.chKontakt oder Bewerbung an: Christian Gerber, Rütihof, 8320 FehraltorfMail: christian.gerber@gerber.ch ;Tel: 044 954 80 25Frisch, gesund und gut. Bei uns wachsen Gemüse und Verantwortungsbereiche.Aktuell bieten wir am Stadtrand von Zürich eine Aufgabe als:Bereichsleiter Freiland, Verantwortung Anbau (m/w)Alle Details dazu unter: www.beerstecher.ch. Wir freuen uns auf Sie!www.max-urech.ch1312 EclépensTél 021 701 24 90, Fax 021 701 24 93www.pluimers.ch Tel. 056 634 35 45 info@pluimers.ch
der Gemüsebau/Le maraîcher –5/2012 –5.10. 2012 dossIEr spécIaL 11Bohnen /HaricotsKarotten /CarottesErbsen /Petit-poisSpinat /Epinardso28 ha35 haBL33 haaG318 ha165 ha145hasH /d54 ha35 ha17 hazH125ha147 ha55 hatG103ha135ha42 hasG/FL211ha51 ha551haFr11 haBE6ha96 haGr25 haAnbaufläche Verarbeitungsgemüsenach Kantonen (SGA 2011)Surfaces delégumes de transformationpar canton (SGA 2011)source:ccm /Quelle:szgsurent des conditions relativement stablessur le marché depuis des années. Les importationsàbas prix sont évidement inquiétanteset la pression sur les prix dansle commerce de détail se répercute aussisur les producteurs de légumes de transformation.D’un autre côté, il est réjouissantde constater que depuis quelquesannées Migros mise de nouveau de façonaccrue sur les légumes en conserve suisses.«Alors que les ventes avaient légèrementbaissé l’année précédente, elles ont denouveau augmenté cette année», indiqueMonika Weibel, la porte-parole de la Migros.Jusqu’à présent, les transformateurssoutiennent la production suisse.Ces deuxdernières années, les prix fixés contractuellementont d’ailleurs pu être maintenus.Daniel Habegger espèreque cette situationperdurera: «Iln’existe presque plus de margede manœuvre pour baisser les prix desharicots», souligne-t-il. Notons encorequel’arrivée dans ce secteur de l’entreprise detransformation Verdunova sise dans la valléedu Rhin saint-galloise, entreprise quiest devenue un acteur important du marchéàcôté des trois grands transformateursLouis Ditzler, Frigemo et Hilcona, aquelquepeu échauffé les esprits.Son affiliationàSCFA (Swiss Convenience Food Association)devrait néanmoins calmer les choses.La culture souscontrat,unevéritable success storyStefan Britschgi, producteur d’épinardsàDiepoldsau, prend les choses avec philosophie.Outre laculture des épinards, ils’occupe aussi de concluredes contrats deculture avec d’autres maraîchers sur mandatdes transformateurs. Stefan Britschgirappelle que la culturesous contrat est unevéritable success story. «Les producteursde légumes frais seraient heureux de pouvoirbénéficier d’une situation aussi stable»,souligne-t-il. Les variations de récolteet l’adaptation des surfaces de culturefontpartie du métier et s’équilibrent au fil desans. Les fluctuations entre les transformateurssont tout àfait normales; il en atoujours été ainsi ces 30 dernières années.Pour la production, il s’agit de toute façonen premier lieu d’assurer la disponibilitéde la marchandise. Degrands progrès ontjustement été réalisés àceniveau. «La partdes importations diminue depuis des années»,conclut Stefan Britschgi.collaboration nécessaireentreles producteursStefan Britschgi réfute les allégations ducanton d’Argovie, comme quoi la Suisseorientale dominerait de plus en plus laculture delégumes de transformation. Ilrappelle que la Suisse orientale aperdu beaucoupde surfaces d’épinards au bénéficedu plateau ces dernières années.Ilneveutde toute façon pas entendre parler de tensionsentre les régions et souligne que larépartition de la culturedans diverses régionsest justement un des éléments du succès:«Cela permet de partager les risquesde pertes et augmente la disponibilité dela marchandise, seule manière pour lesproducteurs de faire figure departenairesfidèles pour les acheteurs.» C’est d’ailleursdans cet esprit que Stefan Britschgi assumesa fonction de président de la commissionLégumes de transformation de l’Unionmaraîchère suisse (UMS) qui négocie lescontrats de prise en charge avec les transformateurs:«Pour assurer le succès de laproduction indigène, les producteurs doiventcollaborer entreeux.»n
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