Anthony KERMAGORET - THESES ET MEMOIRES DE L'UDS

Résumé et conclusion générale
Par contre la structure de 10, déterminée par diffraction des rayons X, montre la formation
d’un complexe tétranucléaire possédant deux atomes Cl triplement pontants, quatre atomes Cl
doublement pontants et deux atomes Cl terminaux (Figure 2).
Figure 2. Vue ORTEP de la structure moléculaire à l’état solide de 10 dans 10⋅2CH2Cl2 (les
atomes d’hydrogène ne sont pas représentés pour simplifier la figure).
Une étude de diffraction sur poudre du complexe 11 nous a permis de l’identifier comme un
complexe tétranucléaire. Les complexes 10 et 11 ont été isolés sous forme de poudres rouges
par évaporation lente d’une solution de MeOH ou CH2Cl2 ou précipités sous forme de poudres
vertes par ajout d’heptane sur une solution de CH2Cl2. L’étude UV-Vis à différentes
températures d’une solution du complexe 10 a permis de mettre en évidence la présence d’un
équilibre entre une forme [NiCl2(P,N)] rouge et une forme [NiCl2(P,N)]4 verte. L’application
d’une pression mécanique de 30 Kbar sur les complexes 10 et 11 sous la forme verte
[NiCl2(P,N)]4 induit une isomérisation sous la forme [NiCl2(P,N)] rouge. Une étude
magnétique de 11 sous la forme tétranucléaire a été commencée afin de déterminer les
différentes interactions ferro ou antiferro qui lient les atomes de Ni.
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