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La chambre Des Députés

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2. Le Gouvernement est-il disposé à entamer<br />

un dialogue avec la Croix-Rouge luxembourgeoise<br />

sur l'avenir et sur l'entretien de ce château?<br />

3. Le Gouvernement veut-il mettre en valeur<br />

l'héritage historique du Château de Colpach?<br />

Réponse (25.10.2011) de M. Mars Di Bartolomeo,<br />

Ministre de la Santé:<br />

Durant de longues années la Croix-Rouge a exploité<br />

le château comme une partie du centre<br />

de convalescence de Colpach. Le château abritait<br />

des salles de réunion, l’administration ainsi<br />

que des <strong>chambre</strong>s de patients. Or, l’exploitation<br />

du château n’étant plus du tout conforme<br />

aux exigences en vigueur, la Croix-Rouge, avec<br />

l’aval et le soutien du Ministère de la Santé, de<br />

la Commission permanente pour le secteur<br />

hospitalier et finalement de la Chambre des<br />

<strong>Députés</strong> (Loi du 21 décembre 2004 modifiant<br />

la loi modifiée du 21 juin 1999 autorisant l’État<br />

à participer au financement de la modernisation,<br />

de l’aménagement ou de la construction<br />

de certains établissements hospitaliers) a décidé<br />

de construire un nouveau centre de convalescence.<br />

Dès le départ, il était prévu par la Croix-<br />

Rouge de rénover le château dès la mise en service<br />

de ce nouveau bâtiment. Cette mise en<br />

service a eu lieu l’année passée après quatre<br />

années de construction.<br />

Les «bâtisses à quelques mètres seulement de<br />

l’édifice historique» ont donc été construites en<br />

vertu d’une loi de financement spéciale et ce,<br />

après consultation du service des Sites et Monuments<br />

et en respect des exigences émises.<br />

À ce stade, il y a donc lieu de confirmer que le<br />

château ne se trouve pas dans un état de délabrement,<br />

mais dans un état de chantier. Les<br />

premiers travaux d’un chantier complexe ont<br />

donc démarré et il a fallu entreprendre en premier<br />

lieu une opération de désamiantage de<br />

l’immeuble. En plus, les éléments historiques<br />

de l’immeuble, escaliers en pierre taillée, menuiseries,<br />

etc. ont été soigneusement protégés.<br />

Toutes les œuvres d’art se trouvant à l’intérieur<br />

du bâtiment ont été entreposées.<br />

<strong>La</strong> glycine qui couvre la façade sud étant une<br />

des plus anciennes du Grand-Duché va être<br />

taillée par un homme de l’art afin de pouvoir<br />

être préservée.<br />

<strong>Des</strong> études sur les structures existantes sont en<br />

cours afin de déterminer les mesures constructives<br />

à entreprendre pour donner au château<br />

une réelle utilité au niveau du site sans pour<br />

autant toucher aux parties historiques. Il faut<br />

remarquer que certaines parties du château ont<br />

eu, au fil du temps, diverses affectations, ce qui<br />

a entraîné des aménagements et modifications<br />

structurelles ponctuelles qui nécessitent une rénovation<br />

complète. Ce constat vaut notamment<br />

pour la partie ouest donnant vers le<br />

nouveau centre. L’ancienne cuisine du centre<br />

de convalescence, qui constitue une annexe assez<br />

récente, sera démolie pour redonner l’aspect<br />

original au bâtiment. <strong>La</strong> partie est par<br />

contre a été préservée dans son aspect historique<br />

et elle sera restaurée soigneusement dans<br />

le style de l’époque.<br />

À court terme la Croix-Rouge veille à sécuriser<br />

le chantier afin qu’il n’y ait pas de dégradation<br />

durant la phase des travaux préparatoires, les<br />

études et plus particulièrement la saison hivernale<br />

(vidange du réseau de chauffage pour éviter<br />

le gel, protection totale des sols et des murs<br />

par du plancher spécialement posé, mesures<br />

anti-vandalisme et traçabilité des accès avec<br />

clés intelligentes, protections contre les dégâts<br />

des rongeurs).<br />

En ce qui concerne l’intervention du Ministère<br />

de la Santé par le biais du Fonds spécial des investissements<br />

hospitaliers, des travaux de rénovation<br />

sont prévus pour les parties du château<br />

qui seront utilisées dans le cadre de l’exploitation<br />

du centre de convalescence de Colpach.<br />

<strong>La</strong> Croix-Rouge est en dialogue avec l’État en<br />

ce qui concerne la rénovation et la préservation<br />

du patrimoine historique, voire son éventuel<br />

entretien pour la partie qui ne relève pas du<br />

centre de convalescence proprement dit.<br />

Question 1636 (26.8.2011) de M. Fernand<br />

Kartheiser (ADR) concernant le Centre de<br />

soins pour la faune sauvage à Dudelange:<br />

Le Centre de soins pour la faune sauvage à Dudelange<br />

fait un excellent travail mais semble<br />

être soutenu, malgré l'importance de ses interventions,<br />

assez faiblement par les autorités étatiques<br />

et communales.<br />

C'est pourquoi j'aimerais poser les questions<br />

suivantes à Messieurs les Ministres de l'Agriculture<br />

et du Développement durable:<br />

1. Messieurs les Ministres estiment-ils que ce<br />

queStionS au gouvernement 2011-2012<br />

centre est actuellement suffisamment grand et<br />

bien doté pour répondre à tous les besoins en<br />

la matière sur le plan national?<br />

2. Messieurs les Ministres accordent-ils tous les<br />

moyens nécessaires au bon fonctionnement de<br />

ce centre?<br />

3. À combien s'élèvent les subventions de l'État<br />

au centre de soins précité et comment ont évolué<br />

les subventions étatiques au cours des dernières<br />

années?<br />

Réponse commune (27.9.2011) de M. Romain<br />

Schneider, Ministre de l’Agriculture, de la<br />

Viticulture et du Développement rural, et de M.<br />

Claude Wiseler, Ministre du Développement<br />

durable et des Infrastructures:<br />

Le Centre de soins pour la faune sauvage à Dudelange<br />

a été fondé en 1988 et a comme vocation<br />

de soigner les animaux sauvages en vue<br />

d’un retour à la liberté. Il est géré par l’a.s.b.l.<br />

Lëtzebuerger Natur- a Vulleschutzliga. Plus de<br />

100 espèces d’animaux y sont accueillis chaque<br />

année. Le nombre total d'animaux hébergés et<br />

soignés en 2005 a été de 2.200.<br />

Le financement des activités de ce centre se fait<br />

au moyen de fonds en provenance de l’administration<br />

communale de Dudelange, du département<br />

de l’Environnement du Ministère du<br />

Développement durable et des Infrastructures,<br />

du Ministère de l’Agriculture, de la Viticulture<br />

et du Développement rural ainsi que de dons<br />

privés.<br />

Le Gouvernement est conscient des efforts que<br />

le centre effectue en faveur de la faune sauvage<br />

et, en conséquence, contribue de deux manières<br />

aux frais de fonctionnement.<br />

D’une part, le département de l’Environnement<br />

intervient, au moyen d’une convention conclue<br />

avec l’a.s.b.l. Lëtzebuerger Natur- a Vulleschutzliga,<br />

dans les frais pour un ouvrier à raison<br />

de 38.100 € pour 2008, 40.700 € pour<br />

2009 et 41.072 € pour 2010.<br />

D’autre part, le Ministère de l’Agriculture, de la<br />

Viticulture et du Développement rural participe,<br />

depuis 2007, au salaire du vétérinaire chargé<br />

du traitement des animaux avec une subvention<br />

forfaitaire annuelle de 10.000 €.<br />

Question 1638 (29.8.2011) de M. Eugène<br />

Berger (DP) concernant les fuites d'huile<br />

malgré l'installation d'un nouveau bassin<br />

de rétention à l'aire de Berchem:<br />

Il me revient que, malgré l'installation d'un<br />

nouveau bassin de rétention à l'aire de Berchem<br />

en direction de Luxembourg, des fuites d'huile<br />

ont été tout récemment constatées dans les<br />

alentours de la station.<br />

Dans ce contexte, je souhaiterais poser les<br />

questions suivantes à Monsieur le Ministre du<br />

Développement durable et des Infrastructures:<br />

- Est-ce que Monsieur le Ministre et ses services<br />

ont connaissance de ces incidents?<br />

- Quelles sont les origines et les raisons de ces<br />

nouvelles fuites d'huile?<br />

- L'huile s'est-elle répandue dans les canalisations<br />

de Berchem et, le cas échéant, y a t-il un<br />

danger par évaporation de gaz?<br />

- Plus généralement, j'aimerais savoir quelle<br />

pollution est à déplorer par ces fuites d'huile.<br />

- Quelles mesures sont prises pour remédier<br />

dans les plus brefs délais à cette situation?<br />

- Conformément au principe pollueur-payeur,<br />

qui devra régler les frais causés par cette pollution?<br />

Réponse (31.10.2011) de M. Claude Wiseler,<br />

Ministre du Développement durable et des<br />

Infrastructures:<br />

Par sa question parlementaire, l’honorable Député<br />

souhaite avoir des informations relatives à<br />

d’éventuelles fuites d’huile aux alentours de la<br />

station «Aire de Berchem».<br />

En effet, en date du 27 août 2011, un incident<br />

s’est produit au niveau des déshuileurs d’installation<br />

de traitement des eaux de surface en<br />

provenance de l’aire de service. Cette situation<br />

irrégulière s’est produite suite au colmatage des<br />

filtres des déshuileurs par des particules fines alluvionnées<br />

par la pluie après un temps sec. Par<br />

conséquence, des traces d'hydrocarbure ont<br />

été constatées à la surface du ruisseau au lieudit<br />

Méckenheck. Cette situation est comparable<br />

avec celle décrite dans ma réponse à la question<br />

parlementaire n°0423 du 28 janvier 2010<br />

(cf. compte rendu n°10/2010-2011).<br />

En outre et afin de déterminer le degré de pollution,<br />

l’Administration des Ponts et Chaussées<br />

a chargé un bureau de contrôle pour prendre<br />

des échantillons sur place. Les analyses des<br />

échantillons confirment qu'il n'y a pas eu de<br />

nouvelle pollution dans le fossé après l'incident<br />

du 27 août 2011.<br />

Afin de réduire le risque de colmatage des filtres<br />

des déshuileurs, des travaux de modification<br />

et d’amélioration des installations ont<br />

été réalisés au cours des derniers mois. Par<br />

ailleurs, je peux vous informer que les nouvelles<br />

installations ont été mises en service définitivement<br />

pour le 21 octobre 2011 de sorte que<br />

l’on puisse présumer qu’une situation comparable<br />

ne se reproduira plus à l’avenir.<br />

Enfin, il convient de souligner que l'État est le<br />

propriétaire des installations, et, pendant les<br />

travaux de modification, l’Administration des<br />

Ponts et Chaussées a repris la gestion de ces<br />

dernières. En appliquant le principe du pollueur-payeur,<br />

les frais causés par cette pollution<br />

seront donc à la charge de l'État.<br />

Question 1639 (29.8.2011) de M. Fernand<br />

Etgen (DP) concernant la détection d'une<br />

épidémie de la fièvre Q dans deux exploitations<br />

agricoles au Luxembourg:<br />

Dans un communiqué du 17 août 2011, l’Administration<br />

des Services vétérinaires a fait savoir<br />

que l’épidémie de la fièvre Q a été détectée<br />

dans deux exploitations agricoles au<br />

Luxembourg.<br />

Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions<br />

suivantes à Monsieur le Ministre de l’Agriculture,<br />

de la Viticulture et du Développement rural:<br />

- Quelles sont les dispositions de précaution actuellement<br />

en vigueur?<br />

- Quels sont les risques pour les moutons et les<br />

chèvres?<br />

- Est-ce qu’il y a également un risque de contamination<br />

pour l’espèce bovine?<br />

- Quelles sont les catégories d’animaux pour<br />

lesquelles une vaccination rentrerait en ligne de<br />

compte à Luxembourg?<br />

- Est-ce que toutes les chèvres enregistrées au<br />

Grand-Duché de Luxembourg ont été vaccinées?<br />

- <strong>La</strong> possibilité de vacciner les animaux domestiques<br />

existe-t-elle?<br />

- Monsieur le Ministre n’est-il pas d’avis qu’il<br />

faudrait recommander à la population voisine<br />

des exploitations positives de garder les animaux<br />

domestiques autant que possible à l’intérieur<br />

des maisons?<br />

- Est-ce que toutes les mesures de contrôle ont<br />

été prises afin de garantir la sécurité sanitaire<br />

de nos produits alimentaires?<br />

- Comme la fièvre Q peut se transmettre à<br />

l’homme, est-ce qu’une campagne d’information<br />

a été lancée pour les exploitations caprines,<br />

les riverains des exploitations positives<br />

et le personnel des laboratoires et abattoirs?<br />

- Est-ce qu’il existe des normes à respecter en<br />

ce qui concerne la distance entre les troupeaux<br />

des petits ruminants et les quartiers d’habitation?<br />

- Existent-ils des conditions particulières pour la<br />

construction d’étables servant à abriter des<br />

chèvres?<br />

- Est-ce que Monsieur le Ministre est disposé,<br />

ensemble avec le secteur agricole, à mettre sur<br />

pied à moyen terme un programme de prévention<br />

ainsi qu’une stratégie de précaution?<br />

Réponse (26.9.2011) de M. Romain Schneider,<br />

Ministre de l’Agriculture, de la Viticulture et<br />

du Développement rural:<br />

<strong>La</strong> fièvre Q est une maladie animale qui peut<br />

toucher pratiquement toutes les espèces du règne<br />

animal: animaux domestiques (chats,<br />

ovins, caprins, bovins), animaux sauvages<br />

(oiseaux, serpents, amphibiens) et les arthropodes<br />

(tiques). En outre il s’agit d’une zoonose,<br />

c’est à dire une maladie qui est potentiellement<br />

transmissible à l’homme. Alors que dans nos<br />

régions les animaux essentiellement atteints<br />

sont les petits ruminants (moutons, chèvres),<br />

dans d’autres endroits la maladie concerne surtout<br />

les bovins.<br />

L’agent étiologique de la maladie est une bactérie,<br />

Coxiella burnetii, qui se transmet soit par<br />

voie directe (aérosol) soit par voie indirecte via<br />

les tiques. En général, la maladie est inapparente<br />

mais peut se manifester par une augmentation<br />

des avortements qui souvent est le seul<br />

signe clinique observé dans les troupeaux de<br />

chèvres ou moutons.<br />

<strong>La</strong> surveillance des troupeaux peut se faire par<br />

recherche des anticorps (sérologie) ou par la<br />

recherche de l’agent pathogène (PCR). Cette<br />

dernière méthode est préférable puisqu’elle<br />

permet de faire des analyses de routine au niveau<br />

du lait de tank afin de détecter une contamination<br />

de l’exploitation.<br />

L’Administration des Services vétérinaires préconise<br />

la vaccination uniquement pour les troupeaux<br />

testés positifs en prenant en compte les<br />

coûts de la vaccination et les éventuels effets<br />

indésirables de cette dernière (p. ex. diminution<br />

de la production de lait). Le programme<br />

de vaccination est établi pour l’exploitation<br />

concernée en étroite collaboration avec le vétérinaire<br />

traitant.<br />

<strong>La</strong> vaccination des animaux domestiques n’est<br />

pas prévue de même qu’il n’existe aucun vaccin<br />

à destination humaine. Le risque de contamination<br />

pour les animaux domestiques est<br />

peu élevé et ne justifie pas une recommandation<br />

de maintenir les animaux à l’intérieur des<br />

habitations d’autant plus qu’une telle recommandation<br />

serait à l’encontre de la réglementation<br />

sur le bien-être animal.<br />

En ce qui concerne la sécurité alimentaire, la<br />

transmission de l’agent pathogène par voie digestive<br />

peut être exclue. <strong>La</strong> transmission de la<br />

maladie se fait essentiellement par contact direct<br />

avec les animaux contaminés ou éventuellement<br />

par aérosol à partir de matières contaminées.<br />

Les mesures prescrites par l’Administration<br />

des Services vétérinaires au niveau des exploitations<br />

positives, comme la pasteurisation<br />

du lait avant sa mise sur le marché, servent à<br />

minimiser cette voie de transmission. <strong>La</strong> transmission<br />

indirecte entre animaux mais aussi des<br />

animaux vers l’homme peut se faire via les<br />

tiques, ces dernières étant d’ailleurs responsables<br />

pour la transmission d’autres maladies.<br />

<strong>La</strong> fièvre Q est certes une zoonose mais ne<br />

constitue pas pour autant un problème majeur<br />

de santé publique comme l’ont montré les résultats<br />

d’analyses effectuées au niveau national.<br />

En conséquence, il n’est pas nécessaire de lancer<br />

une compagne d’information au niveau des<br />

personnes potentiellement à risque. Les personnes<br />

qui de part leur profession sont continuellement<br />

en contact avec des agents pathogènes<br />

sont informées sur les mesures d’hygiène<br />

qui s’imposent.<br />

Au niveau réglementaire, il n’existe pas de<br />

normes concernant la distance entre les troupeaux<br />

des petits ruminants et les quartiers<br />

d’habitations mais il existe des recommandations<br />

qui divergent suivant les auteurs.<br />

Les conditions pour la construction de bâtiments<br />

servant à abriter des chèvres sont les<br />

conditions générales reprises dans la réglementation<br />

concernant la protection des animaux<br />

dans les élevages mais ne sont pas spécifiques<br />

pour les chèvres.<br />

L’Administration des Services vétérinaires continue<br />

à surveiller de près la situation en matière<br />

de santé animale et émet, le cas échéant, les<br />

recommandations appropriées pour les exploitations<br />

touchées par la maladie.<br />

Question 1641 (1.9.2011) de M. Claude<br />

Adam (déi gréng) concernant l’éventuelle infection<br />

massive du courrier électronique<br />

par des virus:<br />

Selon une étude récente (Symantec Intelligence<br />

Report: August 2011) de l’entreprise «Symantec»<br />

le Grand-Duché de Luxembourg serait<br />

après la Suède le pays dont le courrier électronique<br />

est le plus infecté par des virus (un e-mail<br />

sur 85,1).<br />

Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions<br />

suivantes à Messieurs les Ministres:<br />

- Est-ce que les Ministres peuvent confirmer les<br />

conclusions de l’étude en question?<br />

- Dans l’affirmative, quelle en serait l’explication<br />

d’après le Gouvernement?<br />

- Sachant qu’une infection massive du courrier<br />

électronique au Luxembourg par des virus pose<br />

un problème réel pour l’attractivité du site économique<br />

luxembourgeois, notamment à<br />

l’égard de la branche informatique, quelles mesures<br />

le Gouvernement entend-il adopter afin<br />

de pouvoir contrecarrer ce phénomène?<br />

Question 1649 (1.9.2011) de Mme Anne<br />

Brasseur (DP) concernant l’augmentation<br />

des e-mails infectés par un virus au<br />

Luxembourg:<br />

Selon une analyse récente de spécialistes de la<br />

sécurisation des systèmes informatiques, le<br />

nombre d'e-mails infectés par un virus aurait<br />

doublé au Luxembourg entre le mois de juillet<br />

et le mois d'août. Le Luxembourg occuperait<br />

ainsi, avec un courriel sur 85 infecté, la deuxième<br />

place au classement des pays les plus visés<br />

par de telles attaques.<br />

Q7

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