anaLyse de la vioLence armée au burundi

176
ANALYSE DE LA VIOLENCE ARMÉE AU BURUNDI
163 Correspondance avec une représentante de l’ADDF, Bujumbura, janvier 2008.
164 Correspondance avec une représentante de l’ADDF, Bujumbura, janvier 2008.
165 Entretien avec Aline Ndayikeza, chargée des programmes de Nturengaho,
Bujumbura, janvier 2008.
166 Entretien avec une source médicale burundaise, janvier 2008. Dans
certains—rares—cas, les administrateurs communaux peuvent délivrer une
« attestation d’indigence », qui permet de demander ensuite un bon de
commande au Ministère de la Solidarité pour que ce dernier prenne en charge
les frais médicaux de l’indigent. L’Etat dépense en moyenne 520 millions FBU
(450 000 USD) par an pour couvrir les factures des malades incapables de
payer leurs factures médicales.
167 Entretien avec le Dr. Protais Ntihogora, chef du service de chirurgie de
l’hôpital militaire de Kamenge, Bujumbura, janvier 2008.
168 Comprenant les coûts pré-hospitaliers, les coûts hospitaliers, et les coûts de
rééducation. Les coûts hospitaliers représentés ici n’incluent pas certains
coûts tels que le coût des bâtiments, les coûts récurrents, ou encore les
salaires du personnel de santé (Dalal et Nasibu Bilali, 2008, p. 25 et 27).
169 Ces calculs ont été réalisés en multipliant le revenu mensuel de chaque blessé
par le nombre de mois pendant lesquels il a dû être absent de son travail, ou
n’a pu exercer son activité professionnelle, en raison de sa blessure (Dalal et
Nasibu Bilali, 2008, p. 26).
170 Entretien avec le Dr. Protais Ntihogora, chef du service de chirurgie de
l’hôpital militaire de Kamenge, Bujumbura, janvier 2008.
171 Entretien avec une source officielle burundaise, Bujumbura, janvier 2008.
172 Sources : République du Burundi, Prisons de Muyinga, Gitega, Rumonge,
Muramvya, Ngozi, Mpimba, Bubanza, Bururi, Rutana, Ruyigi et maison
spécialisée de Ngozi, 2008.
173 Remarque faite lors de l’atelier de validation de l’étude, 26 août 2008.
174 Entretien avec une source officielle burundaise, Bujumbura, janvier 2008.
175 Entretien de groupe avec des femmes, Bujumbura, janvier 2008.
176 Il y a par exemple un manque crucial de présence de la police judiciaire dans
certaines provinces, par exemple à Karuzi. (Entretien avec un Général de la
FDN, Bujumbura, août 2008).
177 Entretiens avec des représentants d’ONG burundaises, Bujumbura, janvier
2008.
178 Entretien avec un représentant d’une ONG internationale, Bujumbura, janvier
2008.
179 Entretien avec un représentant d’une ONG burundaise, Bujumbura, janvier 2008.
180 Entretien avec Luk Van Baelen, responsable terrain MSF, Bujumbura, janvier
2008.
181 Entretien avec un représentant d’une ONG burundaise, Bujumbura, janvier
2008. Le Centre Seruka de MSF-Belgique réalise ce type d’expertises.
182 Entretien avec un représentant d’une ONG burundaise, Bujumbura, janvier
2008.
183 Entretien avec un représentant d’une ONG burundaise, janvier 2008 ;
correspondance avec une source burundaise, 30 mai 2008.
184 Entretien avec une représentante de Nturengaho, Bujumbura, janvier 2008.
185 Entretien avec un représentant d’une ONG burundaise, janvier 2008.
186 Conversation avec l’abbé Aster Kana, Bujumbura, 26 août 2008.
187 Entretien de groupe avec des hommes, Cibitoke, janvier 2008.
188 Entretien de groupe avec des hommes, Cibitoke, janvier 2008.
189 Entretien entre DCA et une source officielle burundaise, Gitega, février 2008.
190 Entretien de groupe avec des hommes, Makamba, février 2008.
191 Entretien entre DCA et une source officielle burundaise, Gitega, février 2008.
192 Entretien entre DCA et une source officielle burundaise, Gitega, février 2008.
193 Correspondance avec le service de presse de Brussels Airlines, décembre
2008.
194 Chiffre au 26 août 2008. Entretien avec le général Déo Tutuza, Bujumbura, 26
août 2008. Ces permis de port d’arme, gérés par l’armée, concernent
principalement des pistolets, mais depuis les années 1990 de plus en plus de
fusils automatiques sont enregistrés.
195 Composée du Burundi, de la RDC, de l’Ouganda et du Rwanda, l’initiative
Tripartite Plus a pour but de lutter contre « les forces négatives » de la région.
(Commission conjointe de la Tripartite Plus, 2007).
196 Protocole de Nairobi pour la prévention, le contrôle et la réduction des armes
légères et de petit calibre dans la Région des Grands Lacs et la Corne de
l’Afrique.
197 Entretien avec le Colonel Isaïe Nibizi, Conseiller principal défense/sécurité,
1ère Vice Présidence de la République, Bujumbura, janvier 2008.
198 Lors de l’atelier de validation de cette étude organisé à Bujumbura en août
2008, plusieurs représentants des forces de défense et de sécurité ont
préconisé la création d’une unité de police spécialisée dans la lutte contre le
trafic d’armes.
199 Entretien avec le Colonel Isaïe Nibizi, Conseiller principal défense/sécurité,
1ère Vice Présidence de la République, Bujumbura, janvier 2008.
200 Les armes en dotation sont les armes actuellement en service au sein de la
police (Correspondance avec MAG, décembre 2008).
201 Pour ce qui est des mines antipersonnel, on peut considérer que celles-ci
représentent un problème désormais mineur au Burundi : on estime qu’en
2008 seuls 0,5 % de la population et 4 % des collines du pays sont affectés
par leur présence. L’armée a en outre détruit son stock de 664 mines, en
conformité avec l’accord d’Ottawa (PNUD, 2008b).
202 Dans 116 cas l’arme n’a pu être identifiée, soit 7,7 % des cas.
203 Sachant que plusieurs types d’armes peuvent être utilisés au cours d’un
177
NOTES
i
ii
iii
iv