Rapport annuel - Transat, Inc.
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<strong>Transat</strong> A.T. inc.<br />
<strong>Rapport</strong> <strong>annuel</strong> 2012<br />
Notes aux états financiers consolidés<br />
CONVERSION DES DEVISES<br />
TRANSACTIONS ET SOLDES<br />
Les transactions en devises sont converties en monnaie fonctionnelle aux taux de change en vigueur à la date de transaction. Les<br />
actifs et les passifs monétaires libellés en monnaies étrangères sont convertis en monnaie fonctionnelle aux taux de change en vigueur à la<br />
date de clôture.<br />
Les gains et les pertes de change résultant du règlement de ces transactions ainsi que de la conversion des actifs et des passifs<br />
monétaires qui ne sont pas libellés dans la monnaie fonctionnelle de la filiale, sont comptabilisés au compte de résultat, à l’exception des<br />
couvertures de flux de trésorerie admissibles qui sont différées et présentées en tant que profit latent (perte latente) sur les couvertures de<br />
flux de trésorerie dans le cumul des autres éléments du résultat global, à l’état de la variation des capitaux propres.<br />
SOCIÉTÉS DU GROUPE<br />
Les actifs et les passifs des entités dont la monnaie fonctionnelle n’est pas le dollar canadien sont convertis aux taux de change en<br />
vigueur à la date de clôture, et leurs résultats opérationnels sont convertis aux taux de change moyens de la période. Les écarts de change<br />
résultant de la conversion sont comptabilisés au poste «Montant cumulé des écarts de change» dans le cumul des autres éléments du<br />
résultat global, à l’état de la variation des capitaux propres. À la cession d’une participation, la composante écart de change des monnaies<br />
étrangères se rapportant à cette participation est comptabilisée au compte de résultat consolidé.<br />
ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE<br />
Les équivalents de trésorerie sont principalement composés de dépôts à terme et d’acceptations bancaires très liquides facilement<br />
convertibles en un montant connu de trésorerie avec des échéances initiales de moins de trois mois.<br />
STOCKS<br />
Les stocks, composés principalement de fournitures et de pièces d’aéronefs, sont évalués au moindre du coût, établi selon la<br />
méthode de l’épuisement successif, et de la valeur nette de réalisation. La valeur nette de réalisation correspond au prix de vente estimatif<br />
dans le cours normal de l’activité moins les coûts estimatifs nécessaires pour la réalisation de la vente. Le coût de remplacement peut servir<br />
d’indice pour la valeur nette de réalisation.<br />
IMMOBILISATIONS CORPORELLES<br />
Les immobilisations corporelles sont comptabilisées au coût, moins l’amortissement cumulé et la provision pour dépréciation, le<br />
cas échéant.<br />
L’amortissement des immobilisations corporelles est calculé sur une base linéaire, sauf indication contraire, et vise à amortir leur coût<br />
jusqu’à leur valeur résiduelle estimative sur leur durée d’utilité attendue comme suit :<br />
Équipement d’aéronefs, y compris moteurs de rechange et pièces de rechange durables<br />
Équipement et mobilier de bureau<br />
Améliorations locatives<br />
Édifice administratif<br />
5 à 10 ans, ou usure<br />
3 à 10 ans<br />
Durée du bail ou d’utilité<br />
10 à 45 ans<br />
La flotte compte les aéronefs acquis et les améliorations apportées aux aéronefs loués en vertu de contrats de location simple. Une<br />
partie du coût d’un aéronef acquis est répartie à la sous-catégorie «entretiens majeurs», laquelle est afférente aux coûts de remise en état<br />
des cellules, des moteurs et des trains d’atterrissage, et le montant résiduel du coût est réparti aux aéronefs. Les aéronefs et les entretiens<br />
majeurs sont amortis en tenant compte de leur valeur résiduelle estimative prévue. Les aéronefs sont amortis sur une base linéaire sur des<br />
périodes de 7 à 10 ans et les entretiens majeurs, selon le type d’entretien, sont amortis sur une base linéaire ou en fonction de l’utilisation de<br />
l’aéronef correspondant jusqu’au prochain entretien majeur afférent. Les coûts des entretiens majeurs subséquents sont incorporés au coût<br />
de l’actif à titre d’entretiens majeurs et amortis selon leur type. Les coûts des autres entretiens, y compris les réparations imprévues, sont<br />
comptabilisés en résultat net lorsque ceux-ci sont engagés. Les améliorations apportées aux aéronefs loués en vertu de contrats de location<br />
simple sont amorties sur une base linéaire sur la durée du bail ou la durée d’utilité correspondante, selon la plus courte de ces deux durées.<br />
La valeur résiduelle et la durée d’utilité estimatives sont revues chaque année et ajustées au besoin.<br />
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