Rapport annuel - Transat, Inc.
Rapport annuel - Transat, Inc.
Rapport annuel - Transat, Inc.
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
<strong>Transat</strong> A.T. inc.<br />
<strong>Rapport</strong> <strong>annuel</strong> 2012<br />
Notes aux états financiers consolidés<br />
La valeur comptable totale du goodwill et des marques de commerce répartie à chaque UGT se présente comme suit :<br />
31 octobre 2012 31 octobre 2011 1 er novembre 2010<br />
Marques de<br />
Marques de<br />
Marques de<br />
Goodwill commerce Goodwill commerce Goodwill commerce<br />
$ $ $ $ $ $<br />
Canada – Royaume-Uni – Pays-Bas* 64 262 19 921 64 404 14 683 64 856 14 671<br />
France * 18 471 — 35 687 — 41 433 —<br />
Autres * 8 761 11 9 404 11 6 165 16<br />
Valeur comptable nette au 31 octobre<br />
2011 91 494 19 932 109 495 14 694 112 454 14 687<br />
* UGT individuelles multiples<br />
La Société a effectué un test de dépréciation au 31 octobre 2012 afin de déterminer si la valeur comptable des UGT était supérieure<br />
à leur valeur recouvrable. À l’exception d’une UGT en France, aucune dépréciation n’a été relevée.<br />
À la suite du test de dépréciation d’une UGT en France, qui comprend des voyagistes expéditifs, qui génèrent un pourcentage<br />
important de leurs revenus de la vente de produits à destination de pays de l’Afrique du Nord, dont la Tunisie, le Maroc et l’Égypte, et un<br />
réseau d’agences de voyages, la Société a comptabilisé une charge de dépréciation de son goodwill de 15 000 $. Après dépréciation, le<br />
goodwill de l’UGT en France s’établit à 13 544 $.<br />
La valeur recouvrable de l’UGT en France a été déterminée en fonction de la valeur d’utilité au moyen d’un modèle de flux de<br />
trésorerie actualisés. Lors de la détermination des principales hypothèses, la direction a, entres autres, considéré les incidences sur ses<br />
résultats futurs que pourraient avoir le climat politique qui règne actuellement en Afrique du Nord ainsi que la conjoncture économique<br />
actuelle en Europe. Les flux de trésorerie utilisés sont ceux tirés du budget et des prévisions financières pour les cinq prochains exercices et<br />
ne tiennent pas compte des activités de restructuration auxquelles la Société ne s’est pas encore engagée ou des investissements futurs<br />
importants qui pourraient améliorer le rendement de l’UGT. Le taux d’actualisation après impôts utilisé aux fins du test de dépréciation était<br />
de 11,5 % et le taux de croissance à long terme s’établissait à 1 %. La charge de dépréciation qui a été comptabilisé découle principalement<br />
d’une baisse des revenus de produits à destination de pays de l’Afrique du Nord (Tunisie, Maroc et Égypte) et de la Grèce ainsi que d’une<br />
baisse de la rentabilité de l’UGT.<br />
Au 31 octobre 2012, le taux d’actualisation après impôts utilisé pour les tests de dépréciation des autres UGT était de 11,5 %. La<br />
Société établit des prévisions de flux de trésorerie d’après les budgets <strong>annuel</strong>s approuvés les plus récents et les plans triennaux des<br />
activités pertinentes. Les prévisions de flux de trésorerie tiennent compte du risque lié à chaque actif ou à chaque UGT. Les prévisions de<br />
flux de trésorerie pour une période supérieure à quatre ans sont extrapolées selon des taux de croissance estimés qui ne dépassent pas les<br />
taux de croissance à long terme moyens des marchés visés. Le taux de croissance est fondé sur la tendance du secteur. Le taux de<br />
croissance utilisé aux fins des tests de dépréciation s’établissait à 1 % au 31 octobre 2012.<br />
Le 31 octobre 2012, si le taux d’actualisation après impôts utilisé pour les tests de dépréciation avait été supérieur de 1 %, avec<br />
l’hypothèse que toutes les autres variables demeurent constantes, la charge de dépréciation relative à l’UGT en France aurait été supérieure<br />
de 1 500 $ et aucune autre charge de dépréciation n’aurait été requise.<br />
Le 31 octobre 2012, si le taux de croissance à long terme utilisé pour les tests de dépréciation avait été inférieur de 1 %, avec<br />
l’hypothèse que toutes les autres variables demeurent constantes, la charge de dépréciation relative à l’UGT en France aurait été supérieure<br />
de 1 000 $ et aucune autre charge de dépréciation n’aurait été requise.<br />
Le 31 octobre 2012, si les flux de trésorerie utilisés pour les tests de dépréciation avait été inférieur de 10 %, avec l’hypothèse que<br />
toutes les autres variables demeurent constantes, la charge de dépréciation relative à l’UGT en France aurait été supérieure de 1 000 $ et<br />
aucune autre charge de dépréciation n’aurait été requise.<br />
Le 31 octobre 2012, la Société a effectué son test <strong>annuel</strong> de dépréciation de ses marques de commerce et aucune dépréciation n’a<br />
été relevée. La direction est d’avis qu’aucune modification raisonnablement possible des hypothèses clés utilisées dans son test <strong>annuel</strong> de<br />
dépréciation ne pourrait avoir comme incidence d’obtenir des valeurs comptables par marque de commerce supérieures de façons<br />
significatives aux justes valeurs calculées.<br />
67