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BHASE n°2 (juillet 2013) - Corpus étampois

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Dame du dit Estampes, lequel donna ceste dite rente à la fabricede ceste dite esglise, à la charge que la dite fabrice sera tenuefaire dire et celebrer chacun an en la dite esglise par le curéchevecier d’icelle une anniversaire et vigilles acoustuméesavecques deux messes basses de requiem qui ce [sic] diront àl’autel Nostre Dame pour le salut de ame [sic] le [espace dedeux ou trois mots], tenant icelle piece de vigne d’une part à [p.22] 160 Jehan Morin l’esné et d’autre à Jehan Morin le jeune 161 ,aboutissant d’un bout sur le dit Morin l’esné et d’autre surMacé Boutet, payable chacun an le jour de la Commemoraciondes Mors 162 . Pour ce, pour les dites deux années, la somme decinquante solz parisis. Pour ce — L s. p.(28) De la vefve et heritiers feu Jehan Hamoys 163 , huit solzparisis de rente assignés par le dit deffunct Jehan Hamoys surdeux arpens de terre cituées et assis au carrefour de Puiseletz 164 ,tenant etc. [sic], de laquelle rente n’est enguores passé lettres,160 Page 22 paginée : 22.161 Le censier des Longchamp pour 1511 (éd. Warembourg-Gineste) opposeaussi Jean Morin l’aîné et le jeune mais il ne s’agit pas des mêmes, l’aîné étantalors décédé. A cette date on distingue d’une part « feu Jean Morin » alias « feuJehan Morin l’aisné », beau-père de Pernet Boivin (n os 12, 46bd, 48b, 49bd, 50bd,51bd, 75, 94, 95, 98b, 123a, 150d) et d’autre part son voisin « Jehan Morin » (n os46c, 69b, 99, 112cd, 128f) alias « Jehan Morin le jeune » (n os 83a, 94, 95). On nousprécise clairement clairement le 28 février 1512 (n os 94-95) que la veuve de JeanMorin l’aîné est la mère de Jean Morin le jeune. Mais à partir du 1 er mai 1512 nousentendons parler de « Jehan Morin à present l’aisné » (n°140c) qui est évidemmentcelui qu’on appelait jusqu’alors « le jeune ». Il est donc clair qu’en 1513-1515celui qu’on appelle « le jeune » est un Jean Morin III, fils ou frère cadet de Jean II.162 Le 2 novembre.163 Ce personnage (cf. n°102) est à distinguer de son homonyme égalementdécédé et curé d’Étréchy (n°32).164 Puiselet-le-Marais, commune touchant à celle de Morigny-Champigny, oùdoivent se trouver ces deux arpents.49

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