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Connected to the future - ITnation

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Michel Van den Driessche, SAP<br />

Project Manager chez ArcelorMittal WireSolutions<br />

quelques informations. C’est alors que nous<br />

sommes passés à Cognos 8.» En effet, la<br />

version 7 de la solution demandait parfois<br />

de faire du ‘work around'pour arriver aux<br />

résultats voulus. «Cela ne se voit pas <strong>to</strong>ujours<br />

de l’extérieur mais bien de l’intérieur»,<br />

témoigne Michel Van den Driessche. Le<br />

passage à une version supérieure permet<br />

de finaliser le projet avec la dernière phase,<br />

appelée ‘Target’, durant laquelle les données<br />

sont réparties clairement entre les cubes.<br />

Le projet démarre avec le département<br />

financier. «Ils savaient exactement ce qu’ils<br />

voulaient et comment ils le voulaient. Nous<br />

avons développé <strong>to</strong>ute une série de cubes,<br />

conçu des tableaux et des his<strong>to</strong>grammes.<br />

Cognos 8 a permis de générer le détail des<br />

informations derrière l’his<strong>to</strong>gramme. Les<br />

utilisateurs obtiennent une meilleure visibilité<br />

sur les résultats en ayant la possibilité de<br />

faire du drill-through.» Le projet a ensuite<br />

inclus les ventes, puis la production. Au final,<br />

les cinq informaticiens de l’ex-Arcelor Wire<br />

Drawing ont ainsi été formés sur Cognos afin<br />

de répondre aux attentes des utilisateurs.<br />

«Dans la BI, tant que les données sont bien<br />

structurées, sans restriction technique,<br />

la seule limite est au niveau technique. C’est<br />

difficile de valoriser l’apport intellectuel<br />

d’une solution BI. Mais il y a <strong>to</strong>ujours un<br />

gain, si on a la volonté de mettre le projet<br />

en place. Pour ma part, travailler avec le<br />

département financier et les ventes a été<br />

très intéressant.»<br />

REMISE EN QUESTION<br />

Cognos 8 <strong>to</strong>urne <strong>to</strong>ujours dans les trois usines<br />

de l’entité WireSolutions d’ArcelorMittal. Mais<br />

la fusion a aussi amené une prédominance<br />

de SAP, que l’entité va adopter comme<br />

ERP. «Le système Baan est obsolète et ne<br />

répond plus aux besoins des utilisateurs.<br />

La décision est venue du corporate pour le<br />

choix de SAP. Il nous faut donc implémenter<br />

un même modèle au sein des vingt usines.»<br />

Une situation qui remet en question. La<br />

Business Intelligence. «Dans les ex-Arcelor,<br />

on utilise Cognos, tandis que les ex-Mittal<br />

Steel sont sur Business Objects. Comme la<br />

BI est la cerise sur le gâteau, le bon sens<br />

devrait dire qu’on choisit BO puisqu’on va<br />

avoir SAP comme ERP.» Dans l’attente d’une<br />

décision, <strong>to</strong>us les développements au niveau<br />

de la BI pour le bas carbone ex-Arcelor<br />

sont gelés. Cognos Planning, le dernier<br />

module, n’a donc pas été implémenté. La<br />

conjoncture financière actuelle amène aussi<br />

des incertitudes. «Est-ce l’IT qui choisira cet<br />

outil BI ? L’équipe projet ? Le groupe ? En <strong>to</strong>ut<br />

cas, il faut prendre une décision.»<br />

NOVEMBRE 08 17

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