Mazon, Albin (1828-1908). Voyage au pays ... - Beauzons.com

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Qui m'etit dit alOtl qaej'abito~ Palis
Qu'unanlre feuici me tiendroit pria
7'eus~ègagé qué leshaute. moulaigue.
Egaleroionlles ferlilelcomp3ignet
En leur planeure et que 10ron 1des cieux
Veuf, verroitdeee.~ul,radieux i
Aina que jaméJj'eniso laissé Marie.
Pour en avoir une autre ici chuisie
De mêmenomet de même beauté'.
En qui je perds ores ma liberté.-
Nous passons sur les vieux souvenirs de jeunesse
qui se raUachent à Marie numéro un. C'était ulle
Bourguigncnne et un voit qu'il l'aime encore. Il voudrait
qu'elle vint en Vivarais et lui fait une description
curieuse des plaisirs qu'on y trouve
Tu cognoislroisque'lon Bourguignon fin
A monnectar cederoit la Jio.
Ici l'on voitles roses en hper
Et en hiver un printemps arriver*
Au gré do tons: seulementles pucelles
Sont de beaucoupqu'à Paris plus cruelles,
Veu que Paris aura toujours le pris
Quantau metierde la molle 0' Ipris.
De tel honneur je noie ma patrie.
Vrayest qu'ici les craiotiyes 611eUes
Ailocot toujoursles personnes bonnestes.
Nous remarquons plus loin un quatrain assez pi-
quant sous la plume d'nu futur chanoine:
Au CnA! os V.
Quelqu'un vous a ilecris, et cela vousluffile
Ses polagel font foi du bon qui est en 'ous
Voussenes uo à un des hommesles plus dous,
Si la confusionne gastoil ~ostro i,lùe.
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