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Montrond-les-Bains (Loire), Le Château L ... - Archeodunum SA

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<strong>Montrond</strong>-<strong>les</strong>-<strong>Bains</strong> (F-42) – <strong>Le</strong> Château113Guyot (S.), Etude du mobiliercéramique recueilli sur le site deChangy (<strong>Loire</strong>), D. F. S. de fouillepréventive, I. N. R. A. P., Arbois,2004, 39 p.114Remy (A.‐C.) et alii, Déviation dela R. N. 7. La Pacaudière et Changy(<strong>Loire</strong>), D. F. S. d’évaluation archéologique,I. N. R. A. P., Lyon, 2002,202 p.115Mortagne (B.) et alii, La Pacaudière: déviation de la R. N. 7 (<strong>Loire</strong>),« Domaine Martel», D. F. S.de fouille préventive, I. N. R. A. P.,Lyon, 2002, 29 p., +annexes.116Fournier (G.), Meymont 1972,D. F. S. dactylographié, Clermont‐Ferrand, 19 p., +3 pl. ; Fournier (G.),Meymont 1973, D. F. S. dactylographié,Clermont‐Ferrand, 1973,13 p., +1 pl. ; Fournier (G.), Meymont1974, D. F. S. dactylographié,Clermont‐Ferrand, 7 p., +3 pl.117Bocquet (S.) et alii, Mont-brison(42), « Rue Chenevotterie»,D. F. S. de fouille préventive,I. N. R. A. P., Lyon, 2003, 81 p.118Guyot (S.), « Etude céramologique», Rapport de fouille de sauvetage: Domérat, place Bacchus – sous ladir. V. Bastard –, D. F. S. dactylographiéAfan, Clermont‐Ferrand,1999, 17 p., D. F. S. de la fouille nondéposé, mais étude incluse dansla thèse : Guyot (S.), La céramiquemédiévale en Basse Auvergne, Thèse dedoctorat de l’E. H. E. S. S., 2004,vol. I, pp. 45‐59.Aucune comparaison locale, ni même régionale n’a été décelée sur un récipientanalogue. En revanche, un vase doté toutefois d’une gorge interne est remarqué àChangy (<strong>Loire</strong>) 113 et à la Pacaudière (<strong>Loire</strong>) 114 dans des contextes des XIII e ‐XIV e sièc<strong>les</strong>.Notons également la présence d’une oule datée des XIII e ‐XIV e sièc<strong>les</strong> relativementproche recueillie sur un autres site de cette dernière commune 115 . Des sites auvergnatspossèdent en revanche des individus proches dans des couches datées duXV e et du XVI e siècle 116 . Il faut ensuite se rendre en Alsace pour voir des pichets duXVI e siècle, mais ceux‐ci diffèrent des individus de <strong>Montrond</strong>‐<strong>les</strong>‐<strong>Bains</strong>.• Poterie 4 : marmite ou plus globalement vase à cuireLa poterie présentée ici est unique dans le lot. Ce tesson a été découvert dans lacouche 2039.Il possède une lèvre arrondie et un rebord en petite collerette faiblement pentue(diam. ouv. : 220 mm). <strong>Le</strong> col est légèrement évasé, pourvu d’un point saillant interne.<strong>Le</strong> sommet de l’épaule peut être considéré sur ce fragment, mais ne permet pasd’identifier le profil de la panse. La jonction interne du rebord et du col présenteégalement une saillie, surlignée par une gorge. La partie inférieure de ce vase n’apas été répertoriée. En revanche, le fragment comporte l’extrémité supérieure d’uneanse a priori en console, attachée à la lèvre et à la face externe du rebord. Sa sectionincomplète est cannelée.Des formes très proches sont décelées dans <strong>les</strong> phases 1 et 2 des Etats I‐II de larue Chenevotterie à Montbrison (<strong>Loire</strong>) 117 . Ils appartiennent à un contexte chronologiquedes XIII e ‐XIV e sièc<strong>les</strong>. D’autres individus découverts dans le Bourbonnais, àDomérat (Allier), sont datés de manière similaire – en privilégiant le XIV e siècle 118 . Ilfaut aussi préciser que plusieurs cruches à bec ponté adoptent ce rebord à Montbrisonavec toutefois un col très différent.• Poterie 5 : marmite ou coquemarMalgré la taille conséquente de cet individu en comparaison des autres, il se composed’un seul tesson découvert dans la strate 2067.Il possède une lèvre arrondie, un rebord en bourrelet, doté d’une gorge interne,(diam. ouv. : 130 mm) et une panse globulaire. <strong>Le</strong> col n’est pas considéré, seulementremplacé par une carène interne à la jonction entre le rebord et l’épaule. Il disposeégalement d’une anse en console, attachée à l’épaule en partie supérieure et à la base86

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