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SEXUALITE DES ADOLESCENTS ET SIDA: - IUMSP

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Figure 7.8Existence de pensées concernant les risques de grossesse et de mst-sida, juste avant lepremier rapport sexuel, selon le sexe et le type de relation (en %)100%pas du tout d'accord plus ou moins d'accord tout à fait d'accord80%60%25.29.233.7 30.58.9935.3 32.58.3939.6947.132.810.79.340%20%65.657.4 60.555.7 59.251.443.656.50%gr. mst-sida gr. mst-sida gr. mst-sida gr. mst-sidastable occas. stable occas.(909) (167) (687) (399)fém.masc.7.5 LES DISCUSSIONS ENTRE LES PARTENAIRES DU PREMIER RAPPORT SEXUELLes thèmes abordés dans la question sur les sujets de discussion ont été choisis avec les jeunes qui ontparticipé à la réflexion sur le questionnaire. Ils se divisent en trois groupes : les risques et la contraception;l’identification des risques sexuels antérieurs chez le partenaire, ses partenaires et pratiques sexuelles,l’identification d’utilisation de drogues injectables; et des thèmes touchant à la relation amoureuse (lessentiments, les projets de vie commune et les projets d’avenir).De façon générale, les filles déclarent avoir abordé les thèmes cités plus fréquemment que les garçons,et il y a de grandes différences entre une relation stable et une relation occasionnelle (Tableau 7.4). Lesthèmes touchant le passé du partenaire ou le sien propre sont plus difficiles à aborder que des thèmesmoins personnels touchant la prévention. Il semble cependant plus courant, et peut-être plus facile, deparler des partenaires précédents que d’aborder les comportements avec des partenaires antérieurs ou lespratiques qui ont une connotation négative.Dans une relation stable, plus de la moitié des couples parlent du risque de grossesse et du sida, unemajorité parle de l’utilisation de moyens de contraception. Par contre, les questions concernant l’évaluationdes risques sont moins souvent abordées : si 68% des filles et 56% des garçons parlent des partenaires del’autre, seuls 46% des filles et 38% des garçons abordent les risques que le partenaire a pu prendre enn’utilisant pas de préservatifs ou en utilisant des pratiques à risque. Dans une relation occasionnelle, laquestion de la contraception n’est abordée qu’une fois sur deux et l’évaluation des risques est moinsfréquente.La question de l’usage de drogues est plus délicate à aborder et on peut penser que dans une relationstable elle est souvent superflue. Mais, la question est encore moins discutée lors d’un rapport occasionnel(5 à 7% des cas).62

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