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KCE reports vol. 40 APPENDICES Physiotherapy 87
F. PRELIMINARY (NON VALIDATED) DRAFT OF THE RELEVANT PART OF
THE KCE PROJECT 14/2005 (2005-04-GCP): EVALUATION AND
TREATMENT OF CHRONIC LOW BACK PAIN (ONLY THE PART
ADDRESSING PHYSIOTHERAPY TREATMENT)
THIS PART IS DISPLAYED AS AN INFORMATION AND WILL BE LATER VALIDATED BY EXPERTS FROM
THE KCE PROJECT LOW BACK PAIN
1. NON INVASIVE TECHNIQUES
1.1 Advice to stay active
The considered intervention is the advice to stay active as single treatment, compared with an advice to rest in bed. This
issue is addressed in the CBO guidelines (2003) based on the systematic reviews of Van Tulder 1999, Maher 1999. Our
search find one Cochrane systematic review (Hilde 2006).
Results
For acute or subacute LBP, an advise to stay active has small beneficial effects for the patient (level A). For Chonic low
back pain, there is no evidence. Our search find only studies that concern patients with LBP of less than 12 weeks.
According to CBO 2003, the systematic review of Van Tulder et al (1999) conclut à l efficacité de donner un avis de rester
actif et à un niveau de preuve important pour affirmer que donner un avis de rester actif est une conseil pertinent dans la
prise en charge de la lombalgie de moins de 12 semaines. The systematic review of Maher (1999) arrive à la même
conclusion. Les bénéfices en aigu sont un retour plus rapide au travail, moins de limitations chroniques et moins de
problèmes récidivants.
La Cochrane systematic review de Hilde inclut également des études de patients avec low back pain de moins de 12
semaines (four trials of 491 patients : two trials with low risk of bias and two with moderate to high risk of bias) et aboutit
à des resultats semblables: an advice to stay active alone has small beneficial effects for patients with acute simple low back
pain, and little or no effect for patients with sciatica. There is no evidence that advice to stay active is harmful for either
acute low back pain or sciatica (Hilde 2006).
Conclusion :
Notre revue de littérature n a pas mis en évidence d études de bonne qualité concernant des patients avec lombalgies
chroniques. Chez les lombalgiques de moins de 12 semaines, la littérature montre que le conseil de rester actif est efficace.
Ces études n ont pas mis en évidence de danger à rester actif en cas de lombalgie et/ou de sciatique.
1.2 Bed rest
Ce point est considéré dans les guidelines CBO 2003 et ANAES 2000 concernant des lombalgies chroniques. Ces études
s appuient cependant sur des études de patients aigus ou subaigus, avec des lombalgies de moins de 12 semaines :
Abenhaim 2000, van Tulder 1999. Notre recherche n a pas mis en évidence d étude complémentaire de bonne qualité
méthodologique.
L intervention étudiée est le conseil de rester au lit, comme seul traitement.
Results
Il y a des preuves importantes que le repos au lit n est pas efficace en cas de lombalgies aspécifiques de moins de 12
semaines (CBO 2003). Notre revue de littérature n a pas mis en évidence d études de bonne qualité méthodologique
relative aux patients avec lombalgies chroniques.
Le guideline de l ANAES ne recommande pas le repos au lit sur base d un accord professionnel vu le manque d études
identifiées dans la lombalgie chronique (> 12 semaines). (ANAES 2000). Pour les mêmes raisons, le guideline du CBO 2003
se base sur l International Paris Task Force on Back pain (Abenhaim 2000) pour établir le conseil suivant : un patient avec
CLBP doit être avisé de rester actif autant que possible et d éviter le repos au lit. Il est conseillé au lombalgique de se
mouvoir sans stimuler la douleur et d élargir progressivement son champ d occupations (CBO 2003).
Safety :
La prescription d un repos au lit a des effets néfastes comme la passivité, la raideur articulaire, l atrophie musculaire, la
réduction de la densité osseuse, le décubitus, la thrombo-embolie veineuse et la dégradation de l état général (van Tulder
1999) (CBO 2003).
Conclusion