conclusion - base TEMIS

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jours d'autres considérations sur les changements à l'intérieur
de l'usine et sur les bouleversements de la vie familiale (1).
La direction avait pourtant recherché diverses solutions
pour résoudre cette question de déplacements : dans un
premier temps, elle paye une prime de déplacement assez faible
et,semble-t-il, variable suivant les ouvriers (2), puis elle
met des voitures à la disposition des ouvriers qui se regroupent
à trois ou quatre pour les utiliser (3), finalement elle
(/) "Le trajzt, c' zit bizn bzau, je l'ai iaiX quzlquz^oii ï\aAi z-illz-Vitro l-
IZA, Vitrollzs-Manzillz, quand voui arrivez Iz ioir VOUA zteA énervé
comme tout... je ne AaiA pai ii c'zit bon pouA la ianté* le. rendemznt...
la vie ^amilialz iuAtout. Panez quz lo ri qu'on rzviznt énervé,
on pzut plui i'occupzr dzi goiAZA, la moindrz bztiAz du petit... Vo{ !
on tapz dziAus... alon moi je préfère quand mhnz... j'ai trouvé la
solution de travailler à dzux pai d'ici... mon ialaiiz zit in{ér.izur !"
Frais zufi.
(2) "Le pattion il noui avait donné unz gratification, que,lquz chobo. en plui,
6,80 j'e CA0.C4 pouh. lu dzplaczmznti, paA jouti ça COUVKZ pa-i tout lzi>
faiaiA, quand VOUA montzz avzc votAz voitu/iz, 6,B0 ça paijz Vzbienez dzi
pfizmizte jouM>, puii tzi autAZA joute, VUAWLZ du vzhiculz c'ait à vos
Toun.ne.uA..
"VOUA Aavzz IZA patAom ziiaiznt d'avoin. tout pour eux., HA MUA ont annoncé,
pan. izttAZ Azcommandzz qu'à tzltz datz, l'atzlizi