Les noyaux en 1993 : une nouvelle façon d'exister - Cenbg - IN2P3

En utilisant les équations de Maxwell de 1' électrodynamique classique, on arrive finalement à 1'énergie totale rayonnée par un électron et par unité de fréquence et d' angle solide :oad3w---e2 1OJA(w))~ avec A(w) = - jdt'n A [n lzp(tq)]edod2a 4JE0 C 21~ -,Le flux spectral dans la bande passante h s' écrit :wt(t')Ravo~ement svnchrotron d' une kaiectoire ~ériodiaueOn suppose à présent la kajectoire de 1' électron dans un champ magnétique périodique, de périodeAU et d amplitude assez faible pour que la pente maximale de la trajectoire par rapport à 1' axe soit :0 < I/y (régime onrluleur)Le signal émis sera aussi périodique dans le temps, et sa longeur d' onde contractée par lechangement d' échelle relativiste, soit :où < O2 > est une moyenne sur la période AU . Le spectre de rayonnement est ainsi une série de picsharmoniques des fréquences correspondant à Ai. L' expression précédente peut aussi être retrouvéeen considérant que les émissions produites par le même électron en 2 points séparés par la période AUintedèrent.Pour N périodes, 1' intensité émise sera = 2N fois celle de la kajectoire circulaire ; de plus, le cône derayonnement à une longueur d' onde donnée est plus petit dl un facteur = 1 / en ~ raison de 1' effet d'interférence, donc au total une intemit6 par unité d angle solide .: N2 fois supkeure.Pour 0 > lly (régime wiggler), on peut montrer que les harmoniques augmentent pour former unspectre quasi-conthu ; le wiggler à N périodes peut êke assimilé à 2N aimants de courbure, avec unedivergence horizontale (ltmh) = 43 0.En annexe 1 sont rassemblées les formules de base des caractéristiques specko-géométriques et depolarisation, tant pour une trajectoire circulaire que périodique.