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De plus l’islam a prohibé qu’un homme épouse une femme qu’avait épousée son père.<br />

C’est une chose qui répugne à ALLAH et à tout homme raisonnable.<br />

La jurisprudence islamique se distingue de toutes les autres par son interdiction du<br />

mariage avec une sœur (ou frère de lait) ; car l’enfant se nourrit du lait qui est le produit<br />

du corps de sa nourrice, donc cette dernière est comme sa propre mère. En cela il y a<br />

également un engagement pour la mère à nourrir son propre enfant, car son lait est<br />

aliment naturel nécessaire au nourrisson.<br />

Ce verset a été précédé la génétique dans l’interdiction de ce mariage entre proches dont<br />

les conséquences entraînent une descendance faible et atteinte de défauts congénitaux. Il<br />

a été prouvé que le mariage entre étrangers donne une descendance plus solide<br />

physiquement et mentalement.<br />

Il vous est prohibé d’une manière générale d’avoir commerce avec des femmes déjà<br />

mariées, qu’elles soient libres ou esclaves, sauf celles que vous possédez d’une façon<br />

légitime comme captives de la guerre contre les non-musulmans, car leur mariage<br />

antérieur est annulé par la captivité et elles deviennent licites pour vous, à condition de<br />

vous assurer qu’elles ne portent pas d’enfants dans leu sein. Respectez strictement les<br />

interdictions qu’ALLAH vous a formulées. En dehors de ces femmes croyantes qui vous<br />

sont prohibées, vous avez le droit de prendre des épouses, grâce à votre fortune, sans<br />

intention d’adultère ni de concubinage. A n’importe quelles femmes dont vous avez joui<br />

par le mariage et qui vous sont licites, vous devez leur verser la dot qui leur est due et<br />

comme convenu ; c’est là une obligation dont vous devez - sans concession - vous<br />

acquitter à la date fixée. Mais il n’y a point de tort en ce qui est convenu entre vous : que<br />

l’époux accepte d’augmenter cette dot. ALLAH est toujours au courant des affaires de<br />

Ses serviteurs, prévoyant pour eux des sentences pour lesquelles Il cherche à améliorer<br />

leur conditions.<br />

Avant l’Islam, les gens traitaient les femmes comme des objets. Les proches d’un défunt<br />

avaient droit à son épouse sans dot e contre son gré, comme si elle faisait partie de l’héritage<br />

de l’homme décédé. Certains, s’ils le désiraient, l’épousaient, d’autres la donnaient en<br />

mariage, d’autres encore l’empêchaient de se remarier. Ils avaient plus le droit d’en disposer<br />

que ses propres parents. Dieu le tout haut fit descendre ce verset pour interdire ces pratiques<br />

injustes. Dans ce verset, Dieu le tout haut met les gens en demeure de ne pas nuire à la femme<br />

ni de la harceler pour qu’elle abandonne à l’homme une partie de sa dot ou qu’elle renonce à<br />

certains de ses droits ou à sa quotité de la succession, afin de l’opprimer et de lui nuire. Si la<br />

femme fornique, il est donné à l’homme de reprendre la dot qu’il lui a accordée et de<br />

l’importuner jusqu’à ce qu’elle le quitte. Sauf en cas d’adultère prouvée qu’elle aura<br />

commise, Dieu le tout haut somme les hommes de traiter les femmes convenablement durant<br />

la vie commune, de leur adresser de bonnes paroles et d’agir correctement envers elles, même<br />

si elles inspirent de l’antipathie car l’on pourrait avoir de l’antipathie pour quelque chose qui<br />

soit une grande source de bonheur, comme par exemple le fait pour une femme de donner<br />

naissance à un enfant qui excelle ou règne ou devient quelqu’un d’important. la femme ellemême<br />

qui inspire de l’a<strong>version</strong> à l’homme pourrait changer pour le mieux et devenir la cause<br />

de son bonheur.<br />

Si l’homme décide de quitter son épouse parce qu’il la déteste et ne peut plus supporter sa<br />

compagnie et qu’il veut lui substituer une autre sans qu’elle n’ait commis de turpitude<br />

prouvée et s’il lui a attribué une grande dot qu’il lui a déjà versée ou qu’il a considérée<br />

comme une dette et s’est engagé à payer, il ne doit rien en prélever et doit plutôt lui remettre<br />

toute sa dot, même si elle correspond à un quintal d’argent. Dieu le tout haut réprimande<br />

ensuite les hommes qui, voulant divorcer leurs femmes, les accusaient de commettre une<br />

turpitude pour qu’elles aient peur et se rachètent en leur rendant la dot.<br />

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