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version PDF - Centre d'éveil Spirituel

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quitter son domicile sans une permission et de s’adonner à sa mission naturelle qui consiste<br />

dans la grossesse, l'allaitement et l’éducation des enfants. Une bonne épouse obéit à son mari<br />

et ne confie à personne les secrets de sa vie intime avec lui. Une épouse dévouée doit<br />

conserver le bien de son mari et ne pas le gaspiller. Les époux n’ont pas le droit de faite la<br />

morale à ce genre de femmes. Par contre, celles dont vous craignez l’insubordination et le<br />

fait de ne pas accomplir les devoirs conjugaux de manière satisfaisante, celle-ci vous devez<br />

commencer à leur prêcher la bonne conduite, à leur donner des conseils et à leur rappeler<br />

leurs devoirs. Peut-être que ce sera suffisant. Si cela s’aère inutile, essayez de déserter leur<br />

couche, détournez-vous d’elles. Peut-être que cela leur sera utile et suivront-elles à nouveau<br />

la voix de la raison. Si cela ne révèle aussi inutile, essayez de le corriger, sans pour autant<br />

être violents et sans leur porter préjudice. L’homme ne doit avoir recours à ce dernier choix<br />

que s’il perd tout espoir de voir sa femme redevenir vertueuse et soumise par d’autres<br />

moyens. Si la femme obéit à son mari et satisfait ses besoins , dans les limites prescrites par le<br />

Seigneur, il n’aura plus aucun prétexte de lui chercher querelle et n’aura pas le droit de la<br />

battre, de la déserter ou la maltraiter. Dieu le tout haut menace les hommes qui se montrent<br />

injustes envers les femmes sas aucune raison valable et leur dit qu’Il les soutient et qu’Il se<br />

vengera de celui qui les aura injustement maltraités.<br />

Si les deux époux sont en désaccord, le juge dot confier l’épouse à une personne de confiance<br />

afin qu’elle examine la question de près et empêche l’un ou l’autre des deux époux d’être<br />

injuste envers son conjoint. Si les choses s’enveniment et que l’on craint la division entre les<br />

deux époux, le juge doit désigner un arbitre de confiance de la famille de l’épouse et un autre<br />

de celle de l’époux, lesquels doivent se réunir pour examiner le problème et décider ce qui est<br />

dans l’intérêt général , à savoir la rupture ou la réconciliation . Dieu se montre plutôt<br />

favorable à la réconciliation , aussi a-t-Il dit : « S’ils veulent se réconcilier, Dieu les y aidera.<br />

» Ces réglementations viennent de Dieu qui sait tout sur se serviteurs, les mœurs et leurs<br />

caractères et qui est informé de ce qui se passe entre eux et des causes de leurs conflits.<br />

Dieu le tout haut somme ses serviteurs de L’adorer seul et de ne Lui associer rien ni personne.<br />

L leur commande d’obéir à ses ordres. Puis Il leur prescrit d’être bons envers leur père et<br />

mère, dont Dieu a issu l’homme le faisant ainsi sortir du néant. Il ordonne ensuite à ses<br />

serviteurs d’être bons envers les proches, hommes ou femmes, ainsi qu’envers les orphelins<br />

qui ont perdu leurs pères et envers ceux qui les prennent en charge. Il les mettent en demeure<br />

de se montrer charitables. Il les mettent en demeure de se montrer charitables envers les<br />

indigents ( les pauvres qui ne trouvent personne pour subvenir à leurs besoins) et de les aider<br />

de manière à pourvoir à leurs besoins. Puis Il ordonne d’être bons envers le voisin apparenté<br />

ou non, le compagnon de voyage auquel on n’est lié par aucun lien de parenté, le voyageur<br />

qui est de passage et envers lequel il faut se montrer charitable et ses propres esclaves. Dieu y<br />

ajoute qu’Il n’aime pas celui qui se montre arrogant, vaniteux et fanfaron, et qui se considère<br />

comme tant supérieur aux autres. Il est grand à ses propres yeux mais bien médiocre aux<br />

yeux du Seigneur.<br />

28/ Sourate 4, versets 92 à 94<br />

Il n’appartient pas à un croyant de tuer un autre croyant, si ce n’est par erreur.<br />

Quiconque tue par erreur un croyant, qu’il affranchisse alors un esclave croyant et<br />

remette à sa famille le prix du sang, à moins que celle-ci n’y renonce par charité. Mais si<br />

le [tué] appartenait à un peuple ennemi à vous et qu’il soit croyant, qu’on affranchisse<br />

alors un esclave croyant. S’il appartenait à un peuple auquel vous êtes liés par un pacte,<br />

qu’on verse alors à sa famille le prix du sang et qu’on affranchisse un esclave croyant.<br />

Celui qui n’en trouve pas les moyens, qu’il jeûne deux mois d’affilée pour être<br />

pardonnée par ALLAH. ALLAH est Omniscient et Sage.<br />

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