Journal of Film Preservation - FIAF

La capacitación de los operadores de
proyección constituye un elemento
esencial para la labor de las
cinematecas. Ante el advenimiento de
cambios profundos en los formatos y
sistemas de producción y difusión de
las imágenes en movimiento,
debemos responder a la necesidad de
preservar y ampliar los conocimientos
y experiencia de los operadores.
El presente artículo es una
contribución al logro de ese objetivo y
debe ser considerado como un
documento de trabajo. La primera
parte es el resultado de la negociación
de la administración de la
Cinémathèque Québécoise con el
sindicato iniciada en vistas de la firma
de una convención en 2002. La
segunda parte fue redactada en 1982
por François Augier, director de los
Servicios Técnicos, en colaboración con
Robert Daudelin, en aquel entonces
director general. El texto ha sido
modificado en función de las
necesidades. En ambas partes se
describen las calificaciones, deberes y
responsabilidades del operador de
proyecciones de la Cinémathèque
Québécoise.
• toute amorce douteuse (incomplète, abîmée, sale) doit être
remplacée, y compris l’amorce de projection (ex : il manque des
cadres dans l’amorce SMPTE, des perforations sont endommagées
et non réparables, il y a des saletés ou des rayures excessives, etc.);
• les repères magnétiques ne doivent jamais être visibles dans
l’image;
• les films doivent être préparés de façon à ce que l’un ou l’autre
des projectionnistes de la Cinémathèque puisse le projeter sans
problème.
6. Format d’image, piste sonore et vitesse de projection:
• Le projectionniste est responsable du format d’image. En cas de
doute, il consulte les responsables du programme. Afin d’éviter
toute erreur, le format dit muet (plein cadre) sera identifié selon
sa réalité physique de 1.33; pour les mêmes raisons, le cadre
sonore (« flat ») sera identifié 1.37.
• Le projectionniste est responsable de l’identification du type de
piste sonore : DTS, Dolby numérique, Dolby SR, Dolby A ou mono,
etc. Ces informations doivent être reportées sur l’étiquette de la
boîte contenant le film et transmises au secteur Catalogage.
• Même dans le cas où il y a des problèmes sonores, les niveaux
sonores ne doivent jamais être haussés au-delà de la limite
normale.
• Le son du système Dolby doit obligatoirement être sur « mute »
au moment de l’amorçage du projecteur 16mm.
• Si l’information ne lui a pas déjà été communiquée, le
projectionniste détermine la vitesse de projection des films
muets, au besoin en consultant le Directeur de la Programmation.
• Les tests de projection doivent être faits au moins trente minute
avant la séance publique.
7. Boîtes métalliques :
• Toute boîte métallique (dite « de labo ») endommagée doit être
remplacée immédiatement. Les boîtes doivent toujours être
propres, à l’intérieur comme à l’extérieur : dans la mesure du
possible, toute étiquette et toute écriture au crayon de feutre
doivent être enlevées. Seule l’étiquette Cinémathèque québécoise
doit être apposée sur les boîtes de la collection.
8. Propreté, sécurité, entretien, etc. :
• la porte de la cabine doit être verrouillée en tout temps;
• le système de son doit être en position « muette » entre les
séances;
• les rideaux de l’écran doivent être fermées entre les séances;
• à la fin de chaque jour, les lentilles des projecteurs 35mm
doivent être rangées dans l’armoire métallique qui leur est
réservée;
13 Journal of Film Preservation / 67 / 2004