Tenth International Congress of Egyptologists Abstracts of Papers

XICE – Abstract of Papers
During the course of Egyptian art, the number and variety of themes permissible for
tomb decorations inscribed, it was a treasure for the ancient Egyptian environment,
the scenes preserved life itself. So the daily life of Egyptian brought them for surprise
attack from wild animals which dwell in desert, marshes, and riversides. This very
real danger was a part of everyday life. Wild animals were regarded with special awe
and respect in ancient Egypt because of their great strength ,savagery, violence, and
ferocity; they appeared on scenes from Paleolithic period onwards where the western
and eastern deserts were inhabited by beasts such as felines (lion, lioness, wild cat,
civet cat and leopard), cannines (jackals, wolfs, dogs, foxes and hyenas) and other
small wild animals. the ostraca of wild animals were found at Thebes specially the
valley of the kings and Dier el-Madineh. it has been discussing the work of fullytrained
artists whom status is derived from the religious origin and the purpose of
their work. The scenes of wild animals give the impression of being pictures of daily
life, for example the two hyenas heads that appeared in the hunting scene of the tomb
of intef.(TT.155). The paper studies the beautiful painter's sketches, pupils practice
books and exercises of wild animals representation and wild animals who hoped to
obtain a prize one or a prey . the paper also aims at representing the Egyptian
environment with its wild animals.
Les pièces du puzzle toponymique dans le nord du Delta
Åke Engsheden
L’étude des toponymes par les égyptologues se résume essentiellement à débattre de
la lecture hiéroglyphique (la bonne translittération) et, éventuellement, de localiser le
site sur la carte. Cet approche fait qu’une bonne partie des toponymes anciens est
délaissée hors du champ de l’étude. Car la plupart des anciens noms préservés
jusqu’aujourd’hui n’ont pas laissé de trace dans les textes hiéroglyphiques, coptes,
grecs, etc. Il est donc peu surprenant que ce sont les régions riches en matériel
archéologique qui ont reçu le plus d’attention. Or, on n’a pas besoin de se rapporter à
des lieux illustres (Akhmīm, el-Achmounein, Assouan, etc.) pour se rendre compte
jusqu’à quel degré l’Égypte est encore très riche en anciens noms de lieux. Les
villages aux noms anciens fourmillent, que l’on soit dans la vallée du Nil ou dans le
Delta. Pour que la recherche toponymique portant sur l’Égypte puisse se constituer
comme objet de recherche indépendant, en possession de ses propres visées et
méthodes de travail, il est souhaitable que des moyens adéquats soient élaborés qui
laissent le chercheur mieux apprécier l’information que ces noms orphelins nous
livrent.
Le point de départ est l’état actuel de la toponymie égyptienne. Le lien avec
l’actualité justifie qu’on se concentre sur la division administrative moderne. Ainsi, au
cœur de ce projet se trouve le sort d’anciens toponymes dans le gouvernorat de Kafr
el-Cheikh, au nord du Delta, qui recouvrent des sites fameux tels que Tell el-Fara’in
(Bouto) et Sakha (Xoïs). Le territoire de Kafr el-Cheikh correspond en grande partie
avec l’ancien VI e nome de la Basse-Égypte. Pourtant, contrastant avec le petit nombre
d’études qui s’occupent de cette région, une cinquantaine de noms de lieux —
hydronymes exclus — ont un nom qui paraît dater d’avant la domination arabe. Des
tours ont été effectués dans la région en vue d’assurer la bonne prononciation (locale)
et d’enregistrer les éventuelles légendes autour de l’origine du nom.
81