Le roman chinois - Chine ancienne

Le roman chinois
Youan Kong-lou lève ses sept armées,
Ts'ao Mong-tö rejoint les trois officiers.
Tchou Ko-liang, par sa langue, combat les lettrés,
Lou Tseu-king avec force réfute les opinions.
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(Idem, chap. 17.) p.168
(Idem, chap. 43.)
Se recommandant auprès de son beau-frère, Jou-hai présente un maître.
Allant à la rencontre de sa petite-fille, Kia-mou a pitié de l'orpheline.
(Hong-leou-meng, chap. 3.)
Près du pavillon Ki-ts'oei Pao-tch'ai pourchasse les papillons bigarrés.
Au tombeau Mai-siang Tai-yu pleure sur les fleurs fanées.
(Idem, chap. 27.)
Lin Tai-yu à nouveau établit le Club des fleurs de pêchers.
Che Siang-yun par hasard écrit la poésie des flocons de saules.
(Idem, chap. 70.)
Tuant le grand insecte 1 , la jeune fille emploie des flèches empoisonnées.
Attrapant l'oiseau bizarre, le brave utilise ses poings vides.
(King-houa-youan, chap. 10.)
La jeune fille à la robe rouge avec intérêt interroge sur les caractères d'écriture.
Le vieillard à la barbe blanche avec complaisance parle de la littérature.
(Idem, chap. 16.)
Au pays Hiuen-yuan les nombreux princes fêtent l'anniversaire.
À l'île de P'ong-lai, les deux vieillards visitent la montagne.
(Idem, chap. 39.)
Au pays des Sages, en mer on rencontre un monstre aquatique.
Au royaume des Hommes, sous la colline, on rencontre un phénomène montagnard.
(Idem, chap. 45.)
Tchou Kouei, au Pavillon sur l'eau, lance une flèche-signal.
Lin Tch'ong, pendant la nuit de neige, monte à Liang-chan.
(Chouei-hou-tchouan, chap. 2.)
1 Ta-tchong, grand insecte, est le nom donné au tigre dans certaines provinces.