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L’Actu eille Réglementaire Maroc Arrêté du Ministre de l’Agriculture et de la Pêche Maritime n°3430-11 du 27 hija 1432 (24 novembre 2011) portant protection de variétés par certificats d’obtention végétale (BO n°6010 du 5/1/2012). Le présent arrêté présente dans son annexe la liste des variétés bénéficiant de la protection des obtentions végétales (fraisier, vigne, pomme de terre, hybrides de mandarine), avec indication de l’espèce, du numéro de dépôt, de la dénomination de la variété, du nom de l’obtenteur, du nom du déposant, de la nouveauté de la variété et de la durée de la protection. Cette durée débute à compter de la date de délivrance du certificat d’obtention végétale correspondant. La délivrance des certificats est à la charge du Directeur Général de l’ONSSA. Arrêté du Ministre de l’Agriculture et de la Pêche Maritime n°3431-11 du 27 hija 1432 (24 novembre 2011) autorisant l’inscription de nouvelles variétés de pomme de terre de saison, de pomme de terre de primeur, de melon, de tomate indéterminée, de tomate déterminée de marché de frais, de tomate industrielle, de laitue, de betterave potagère, de luzerne, de blé dur, de blé tendre, d’orge, de triticale, de maïs et Union Européenne Règlement (UE) n° 1130/2011 de la Commission du 11 novembre 2011 modifiant l’annexe III du règlement (CE) n° 1333/2008 du Parlement Européen et du Conseil sur les additifs alimentaires en vue d’y inclure une liste de l’Union des additifs alimentaires autorisés dans les additifs alimentaires, les enzymes alimentaires, les arômes alimentaires et les nutriments. L’annexe III du règlement (CE) n° 1333/2008 est remplacée par le texte de l’annexe du présent règlement. Par ailleurs, les préparations non conformes aux parties 2 et 3 et à la partie 5, section A, de l’annexe III, peuvent continuer d’être mises sur le marché durant une période de vingt-quatre mois à compter de la date d’entrée en vigueur du présent règlement. Les préparations non conformes aux parties 1 et 4 de l’annexe III peuvent continuer d’être mises sur le marché jusqu’au 18 FOOD MAGAZINE N° 41 15 Fév. - 15 Mars 2012 de tournesol au catalogue officiel des espèces et des variétés de plantes cultivables au Maroc (BO n°6010 du 5/1/2012). L’inscription de ces variétés au catalogue officiel est valable pour une durée de 10 ans à partir de la date de publication de cet arrêté au Bulletin Officiel. Elle peut toutefois être renouvelée pour des périodes de 5 ans si la demande est formulée auprès du Comité national de la sélection des semences et des plants, au plus tard 2 ans avant l’expiration de la date de l’inscription initiale ou du dernier renouvellement d’inscription. Circulaire n°5308/311 de l’Administration des Douanes et Impôts Indirects (Ministère de l’Economie et des Finances) du 30/1/2012. A la suite de la publication, dans le BO n° 5974 du 1 er septembre 2011, de l’arrêté n°2352-11 du 3 août 2011 abrogeant l’arrêté n°572-08 du 10 mars 2008 relatif à l’interdiction de la pêche du gastéropode de l’espèce « Cymbium Marmoratum » dans les eaux maritimes marocaines, l’exportation de ce produit peut être autorisée dans les conditions réglementaires. Cahier de prescriptions spéciales fixant les conditions sanitaires, hy- 31 mai 2013. Les denrées alimentaires contenant les préparations précitées et ayant été mises sur le marché au cours de cette période peuvent être commercialisées jusqu’à l’épuisement des stocks. Le présent règlement s’applique à partir du 2 décembre 2011. Décision d’exécution de la Commission du 24 novembre 2011 autorisant la mise sur le marché de flavonoïdes issus de Glycyrrhiza glabra L. en tant que nouvel ingrédient alimentaire en application du règlement (CE) n°258/97 du Parlement Européen et du Conseil. Les flavonoïdes issus de Glycyrrhiza glabra L., ou Glavonoïd, sont utilisés en tant qu’ingrédient alimentaire, et ne peuvent être vendus en tant que tel au consommateur final. Pour leur mise sur le marché de l’Union, ils doivent être conformes aux spécifications de l’annexe I et Veille Réglementaire giéniques et d’équipement auxquelles doivent satisfaire les locaux de vente des viandes de volailles. Ce cahier de prescriptions a pour objet de fixer les conditions sanitaires et hygiéniques d’installation, d’équipement et de fonctionnement auxquelles doivent satisfaire les locaux de vente des viandes de volailles. Ces conditions tiennent compte des dimensions, des moyens d’éviter tout type de pollution, de l’aménagement du sol, des murs et cloisons et des plafonds, de l’éclairage, de l’approvisionnement en eau potable, des moyens de lutte contre les animaux nuisibles, des équipements de froid pour le stockage des viandes, du matériel de découpe, des emballages et de l’hygiène du personnel. De même, le présent cahier s’appuie sur la traçabilité (enregistrement des informations relatives au nom de l’abattoir avicole de provenance des viandes, aux dates et quantités des viandes reçues par lot, aux quantités et à la destinée des viandes non vendues, notamment après dépassement de la date limite de consommation, et aux visites des services de contrôle), ainsi que sur différentes dispositions liées à la vente de produits particuliers (viande hachée ou découpée en petits morceaux, préparations de viandes, etc.). être dénommés «flavonoïdes issus de Glycyrrhiza glabra L.» sur l’étiquette des denrées alimentaires qui en contiennent, avec indication de la quantité présente dans la denrée alimentaire finale. L’étiquette doit en outre mentionner : a) que le produit ne devrait pas être consommé par les femmes enceintes et allaitantes, les enfants et les jeunes adolescents ; b) que les personnes prenant des médicaments délivrés sous ordonnance ne devraient consommer le produit que sous contrôle médical ; c) qu’un maximum de 120 mg de Glavonoïd peut être consommé par jour. Les boissons contenant du Glavonoïd doivent être présentées en portions individuelles au consommateur final. Les teneurs maximales sont spécifiées dans l’annexe II de ce texte.
© Bloc SARL 2011 Nanopacksafer Un emballage « intelligent » Dans le nord du Portugal, une équipe de 5 chercheurs de l’Université du Minho a mis au point un emballage comestible qui permet de prolonger la durée de vie des aliments, dans le cadre d’un projet de coopération internationale qui vise à développer des emballages alimentaires dotés de meilleures propriétés antimicrobiennes. Issu de procédés nanotechnologiques, l’emballage Nanopacksafer se présente sous la forme d’une fine pellicule invisible, inodore, comestible et ne modifiant pas le goût de l’aliment. En fait, l’aliment est couvert d’une solution liquide abritant des nanoparticules qui, en séchant, forment une pellicule protectrice. Le film forme ainsi une barrière aux microorganismes et à l’oxygène, tout en empêchant les pertes en eau. Si la technologie a été testée jusqu’à aujourd’hui sur plusieurs fruits et présente d’importantes perspectives pour certaines entreprises, elle reste néanmoins fortement demandeuse en coûts matériels et humains. De plus, la tendance à consommer des aliments de moins en moins manufacturés n’encourage pas l’implantation de ce type d’emballages. Fractionnement par voie sèche Extraction des composés bioactifs du blé Le son de blé constitue un gisement important de fibres et de micronutriments majoritairement éliminés lors de la fabrication de la farine blanche. Outre l’utilisation du grain complet ou l’incorporation de son à la farine blanche, un nouveau procédé a été mis au point par des chercheurs de l’Unité Mixte de Recherches - Ingénierie des Agropolymères et Technologies Emergentes (UMR IATE) pour concentrer les éléments bénéfiques du son de mouture et les réincorporer dans la farine, dans le but d’enrichir les produits céréaliers. Cette méthode repose sur une technologie de raffinerie par voie sèche qui combine un procédé de micronisation (broyage ultrafin) des sons de blé en conditions cryogéniques à un tri électrostatique. Ce procédé n’utilise ni eau, ni solvant, ne génère pas d’effluents et conserve les composés bio-actifs sous leur forme native. La faisabilité technique et la viabilité économique de cette solution ont fait l’objet d’une validation à grande échelle par des partenaires industriels. La majoration de coût, due à l’addition à une farine panifiable de l’ingrédient obtenu à raison de 5 à 10% n’impacterait le prix de la baguette que de quelques centimes d’Euros. © 2003 - Dixon Fruit Market FOOD MAGAZINE N° 41 15 Fév. - 15 Mars 2012 19
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