1er CHAPITRE - African Wildlife Foundation
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COMPTAGE PAR ÉCHANTILLONNAGE<br />
Fig 3.3: Définition de la bande d’echantillonage. (Source: Norton-Griffiths 1978)<br />
deuxième marque B est alors placée sur le sol<br />
et 1a distance entre A et B se désigne par w.<br />
On obtient le calcul suivant:<br />
w=W.h/H<br />
Où w = 1a largeur requise de 1a bande<br />
H = hauteur requise du vol<br />
iv)<br />
On place alors 1a tige extérieure à b en<br />
ligne avec le point B. En observant une<br />
ligne a’ - a - A, l’observateur établi une<br />
seconde marque b’ afin d’établir une<br />
deuxième ligne b’ - b - B. Si les deux<br />
lignes de vision de l’observateur ont été<br />
proprement positionnées, elles<br />
devraient être alignées quand i1 est<br />
confortablement installé. Les marques<br />
a’ et b’ servent à maintenir correctement<br />
1a position des yeux de l’observateur<br />
et doivent être maintenues alignées avec<br />
les marques a et b.<br />
Ensuite 1a largeur de 1a bande est calculée comme<br />
suit:<br />
Si<br />
h = hauteur moyenne de l’avion<br />
w = largeur moyenne de 1a bande<br />
H = hauteur de vol choisie pour le<br />
recensement<br />
W= largeur nominale de 1a bande à H<br />
Alors W = w. H/h<br />
Si W est trés éloigné de 1a largeur de bande requise,<br />
il faudra repositionner les tiges et effectuer un autre<br />
vol de calibrage.<br />
3.9 ÈCHANTILLONNAGE PAR<br />
TRANSECTS PRIS AU HASARD<br />
3.8 CALIBRAGE DE LA LARGEUR<br />
DES BAN DES<br />
Pour être sûr que l’établissement de 1a largeur des<br />
bandes décrit ci-dessus est correct, il faut établir un<br />
calibrage aérien. On pose des marques, espacées de<br />
20m, sur le sol plat ou une piste d’attérissage. L’avion<br />
prend 1a hauteur nécessaire et survole ces marques à<br />
angle droit. Le ou les observateurs comptent et<br />
photographient le nombre de marques entre les tiges.<br />
Après 1a stratification on choisit des transects au<br />
hasard, à angle droit par rapport à un axe choisi en<br />
conséquent (Norton-Griffiths 1978). Le nombre de<br />
transects choisis devrait correspondre à 1a densité<br />
d’échantillonnage envisagée. Les transects sont alors<br />
indiqués sur un plan de 1a région de recensement.<br />
Pour chaque strate une analyse séparee des données<br />
est effectuée, et réunies à 1a fin pour donner tine<br />
estimation totale de 1a population. On peut également<br />
mettre les données en rapport avec les positions le<br />
long des transects. Cette méthode a souvent été<br />
utilisée pour compter les éléphants et pour recueillir<br />
des données pour d’autres ressources (Watson 1969a<br />
& b; Bell et al. 1973).<br />
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