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TEX pour l'Impatient - Apprendre en ligne.net

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24 Sep 2004 2:48 p.m.<strong>TEX</strong> <strong>pour</strong> l’Impati<strong>en</strong>t N o 39Comm<strong>en</strong>t marche <strong>TEX</strong> 17fichier .dvi et l’y <strong>en</strong>voit. Ces actions sont décrites <strong>en</strong> plus détail dans lasection 4 sous “Anatomie de <strong>TEX</strong>” (p. 48).La vraie composition est réalisée dans l’estomac. Les commandes demand<strong>en</strong>tà <strong>TEX</strong> de composer tel caractère dans telle police, d’insérerde l’espace <strong>en</strong>tre les mots, de finir un paragraphe et ainsi de suite. Encomm<strong>en</strong>çant par des caractères composés individuellem<strong>en</strong>t et d’autresélém<strong>en</strong>ts typographiques simples, <strong>TEX</strong> construit une page comme un <strong>en</strong>semblede boîtes de boîtes de boîtes. (voir “boîtes”, p. 51). Chaquecaractère composé occupe une boîte, et l’<strong>en</strong>semble fait une page <strong>en</strong>tière.Une boîte peut cont<strong>en</strong>ir des boîtes plus petites mais aussi des ressorts(p. 93) et autres diverses choses. Les ressorts produis<strong>en</strong>t de l’espace <strong>en</strong>treles cases les plus petites. Une propriété importante des ressorts est qu’ilspeuv<strong>en</strong>t s’ét<strong>en</strong>dre et se rétrécir ; ainsi <strong>TEX</strong> peut r<strong>en</strong>dre une boîte plusgrande ou plus petite <strong>en</strong> étirant ou <strong>en</strong> rétrécissant les ressorts.En général, une <strong>ligne</strong> est une boîte cont<strong>en</strong>ant une suite de boîtes decaractères, et une page est une boîte cont<strong>en</strong>ant une suite de boîtes de<strong>ligne</strong>s. Il y a des ressorts <strong>en</strong>tre les mots d’une <strong>ligne</strong> et <strong>en</strong>tre les <strong>ligne</strong>sd’une page. <strong>TEX</strong> étire ou rétrécit les ressorts sur chaque <strong>ligne</strong> afin dejustifier une marge droite sur la page et les ressorts de chaque page afin defaire des marges inférieures des différ<strong>en</strong>tes pages égales. D’autres g<strong>en</strong>resd’élém<strong>en</strong>ts typographiques peuv<strong>en</strong>t égalem<strong>en</strong>t apparaître dans une <strong>ligne</strong>ou sur une page, mais nous ne les traiterons pas ici.En tant que processus d’assemblage de pages, <strong>TEX</strong> à besoin de couperdes paragraphes <strong>en</strong> <strong>ligne</strong>s et des <strong>ligne</strong>s <strong>en</strong> pages. En effet, l’estomac voitd’abord un paragraphe comme une longue <strong>ligne</strong>. Il insère des coupures de<strong>ligne</strong> afin de transformer le paragraphe <strong>en</strong> séqu<strong>en</strong>ce de <strong>ligne</strong>s de la bonnelongueur, exécutant une analyse plutôt raffinée afin de choisir l’<strong>en</strong>semblede coupures qui semble la meilleure <strong>pour</strong> le paragraphe (voir “coupure de<strong>ligne</strong>”, p. 59). L’estomac suit un processus semblable mais plus simple afinde transformer une séqu<strong>en</strong>ce de <strong>ligne</strong>s <strong>en</strong> page. Ess<strong>en</strong>tiellem<strong>en</strong>t l’estomacaccumule des <strong>ligne</strong>s jusqu’à ce que plus aucune <strong>ligne</strong> ne puisse r<strong>en</strong>trer dansla page. Il choisit alors un <strong>en</strong>droit simple <strong>pour</strong> couper la page, <strong>en</strong> mettantles <strong>ligne</strong>s avant la coupure sur la page courante et <strong>en</strong> sauvant les <strong>ligne</strong>saprès la coupure <strong>pour</strong> la page suivante (voir “coupure de page”, p. 60).Quand <strong>TEX</strong> assemble un élém<strong>en</strong>t d’une liste d’articles (boîtes, ressorts,etc.), il est dans un des six modes (p. 80). Le g<strong>en</strong>re d’<strong>en</strong>tité qu’il assembledéfinit le mode dans lequel il est. Il y a deux modes ordinaires : le modehorizontal ordinaire <strong>pour</strong> l’assemblage des paragraphes (avant qu’ils nesoi<strong>en</strong>t coupés <strong>en</strong> <strong>ligne</strong>s) et le mode vertical ordinaire <strong>pour</strong> l’assemblagedes pages. Il y a deux modes internes : le mode horizontal interne <strong>pour</strong>assembler des articles horizontalem<strong>en</strong>t <strong>pour</strong> former une boîte horizontaleet un mode vertical interne <strong>pour</strong> assembler des articles verticalem<strong>en</strong>t <strong>pour</strong>former une boîte verticale (autre qu’une page). Finalem<strong>en</strong>t, il y a deuxmodes mathématiques : le mode mathématique de texte <strong>pour</strong> des formulesde maths s’assemblant dans un paragraphe et le mode mathématique

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