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DE. LEVANT.Ce ott pour l'Vil ou pour l'autre ,encore cette prolongationn'arriue que quand l'affaire cft bien difficile, & amfi les: par-:ties ne font pointobligées de manger tout leur bien à plaider~Comme op. fait autrepart: & il ne faut pas craindre qu'il s'yf:aIfe quelque iniuftice ; car a.u haut de la. muraille de cettefaUe {troche le plancher, ilYa vne fenefrre auec vne ialou'!"'tie fermée d vn cre(pe noir, de laquelle le grand SeigneurVoir & entend quandil veut tout ce qui fe fait ou,dit dans leDiuan,Cansdhe apperceu, de forte que les luges ne Cça.­chans fi le gran-d Seigneur eft àla fendbe ou nOn, ils Ce g~r­,dem bien de faire vne iniufiice, qui leur coufteroit auffi.-toftla vie, fi le grand Seigneu~le fç.auoit, & ils luyt"apportent6-,dellement tout ce qui s'eft paffé dans le Diuan. Vn .peu au ~;=::,;;..,delà proche duDivan eft le hazna ou threCor , où CeUjmet le Au Trlft".reuenu dugrand Seigneur; onl'ouure tous les iours de Di- dsu. Gr.f'Ji. 'B l' 1 1 Cc eeg»CM.~1l1;1J:S,~1;14l.~Lta:1lJaJiç le T clllaoux· ac 11'1; en eue e ceau,entIer; & lers q~ona Cirl: dudit hazna ce....,.u."........ VV\.l1V.11. en tirer) ou qu'on y a mis .ce qu'on aUQlt àmettre,on le referme, Fl;1is le Vizir donne fon fceau auBach!; qui en va feeller la ferrure dudit threfor.le Diuan ferieur, l'Aga des lanifiàires eft intro~u1tl~gr~GdS~igneurparté Capid~i Bachi ~ let 1!"~/;=~Thlahoux Bachl, cet Aga rend au grand SeIgneur ral[on rIS.cIe fa Charge" l'ms ils~el1retourne. Apres Iuy on introduit:de mefl1le;(orte· le. Spahiler Agafi , puis les Cadl1eCquers,Pu.i.~tous les ,OfticiersduDiuan, & enfin les Vizirs, & s'il ya ?;Aft. et.que1queAmbaff'àdeur àintr6duire, ill'eft apres les VifitSi:TOuscesOfliciers VOltt ainG tous les iours de Diuan rendre-taifQn au:grandSeigneur de Ce qu'ils ont fait, & nul d'eux:~e (epeutprolUettre.d'en ra:pportedàtefte ,car pour peu ~(;~e~ç:g~4,~~jgneur1es,fait eft:rangler fur le champ.. h'f. . 'QjjJ'