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DE LEVANT. ~pâr laquelle on ,,~iacilementen AGe, en Egypte,&en Afri..~lue; ~ pit où elle reçoittome-s-les comoditez de ces lieux-là: ,a mam gauche cft la Mer noire ou'FQnteuxm , & les Mareth ~!e' nbj,~•.Meotides qui feceuans vn O"rand nomb.'ÎT'C à. e.· riuieres,& ayans. ponteu,~"", b '. . . MM'fJ'Sbeaucoup de peuples voiGns, fourniflent àèe~e VIlle, toU,tes MetJtilk&.les commodifez du Nort, de forte qu'il n'y a rien qUi pmlfe'eRre necefl1ïire,vtile ouagreable dont on n'apporte vne grande.'quan..tité à Conftantinople de toUS coftez par la mer; &.ce.s d' ~d. d ' {'Il Commo It,eux canaux dela mer blanche & e la mernOlre ont te e- de 1"tJ"ofl.ment oppofeœ.l'vll à l'autre, que quand le vent emperche les ti~ .1l~ fI'­vaiffeaux d'arrillerà Conitantinople par l'vn, il eft bon pour ;;:';~b1~.,:..en faitevenirparfaucre. Entre ces deux Mers eft l'entrée du çhe&:noi..-.,or~, que la nature fans aucun aide de l'art a fait le plus beau Beauté dudulhonde , il a pour le moins flx mIles de tour &,vn mile de jfPortI4ntmo,~eC:lne.large, & il Ya fonds par tout, de forte que desdeu z coftezon'defcend~es~ai[eau.l(~1)t~rrefansentrerienaucune: barque,parceqllCiles:plusgrosvaHfeaux ypeuueç.t donner de la prouëen terrefans aucune crainte. Il ne faut donc points'eftonnerde la refponfe q.ue l'Oracle fift aux Fondateurs, qui l'ayansconfulté pour fçauoir où ils baftiroient leur ville, n'e1) Teceu...tentquecette réponfe, Visà vis des A ueugles , leur donnantàentendre qu'ils d