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131, VO y A GEC IJi ff a l'4à4JClJpidgis. peIl' t:C api'd' gl Bacl' l1,quoy que que1querols i:' 1'1 yen a p1us d' vn, "'felon qU'lI plaiil: au grand Seigneur; leur coiffure cft vn bon..net aucc vu cone [ur le front lOFlg de derny picd, attaché aubonncLLcsSolaques fom auiIl de l'infantene, ce {ont archersSIIl4qtle de la l g~lrde du corps, car ils font autour du Grand Seigneur~~:;;[:l-quand il vapar la ville. Ces gcnsallansencercmonic,porrcnrJ,iuent vn Doliman àmanches pendantes, retroutfé à la ~cinture, defnfcl'!fider.forte qu'on voit leurs chcmiCes, qui {ont touGours belles &;.IIUXIJ 1ttrS. 11: d b l ft' Cpropres; leur bonnete c elle ci'1'0 e, und ant en pointeoù Comattachécs des phuucs en forme de crefl:c; ils ont l'arcpaife au bras, & le carquois plein de Heches fur l'efpaulledrOltte , touG.ours prefts à tirer leurs f1.cches s'il en dl:: de besolaqueCoing. On les appelle folaques , c'dl à dire gauchers, à cauCegIlurhel". '-'que quand ils doiuent tirer leursfleches, ceux qui [Ont à ladroitte du grand Seigneur,tirent la corde de l'arc de la maingauche, pour p;e pas tourl1er le dos au grand Seigneur. Mais. . les principaux {(,ldats de l'infanterie [ont les IanifTaires , quiIJfnij{alreJ,lotr---en partie.emansccl'be tn ut,quoy(,...qu oen tIre peu'('a pre ent)on lesameine à Conftal'lt'inople , & onenfermeles plus [piri­~uc1s durant [cptans dans des Serails où ils apprennent leursexercices, & Celon qu'ils ont de l'e[prit & du courage, on lesauance dans les charges, mais ceux qui [ont les plus gro11iers,on les fait ianiffilires , ou aagemoglans , ou boftangis. Cetterecoite [e fait de cinq: ans en éinq ans. Les Ianiffaires fontdonc partie enfans de tribut, partie reniez volontaires, dontil ya grand nombre, &peu des Turcs naturels. Cette milicefur premieremcnt inftituée par Othman ou Ofman FilsInflitutitm d'Orcogule premier Empereur des Turcs.Cecorpseft fi puif..deslnnJ!­faires• [ant tant pour le grand nombre (car outre les Ianitfaires de 1porce, qui [ont douze miles, & [ontdifpcr[ez par toutes lesProuinces de l'Empire; il Yena encore beaucoup.d'autres,&en tres-grandnombre) que pour les priuilege~~ui leur ontel1é accordés autre fois, comme auffi pour lagran4é vnlon.qui cil: entr'eux, s'ar>peHans fl'eres,& ne [ouffranspoint qu'on.offence le moindre de leur corps) qu'ils font tout~e qu'iveulent) &. perfonne que leurs officiers n'oIènt leuer la maifur eux fur peine de la vic sde (orte qu'H femble qu'ils foiefacrez , & affurement ie ne fçay a,*un· arJre de milice dale monde .qui foit autant refpeaé, catiln·y a point de