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f6GV 0 Y.A,GEles, donton metàu commencementiix dans chaque foffeTum 114. te. Mais les plus ordmaires'paffe-temps des gens de gue.rJ,oits 1 Ruxfont les exercices miliraires,iufquels ils fottt fort adroits, ./lrmes. tirent fore iufte au blane auec l'arc & la B.eche, & il ra dala ville plufieurs mai(ons où ~mtire au blanc moyennant quelque petite monnoye r mais-ils!onç tres~habiles à la zagaye,.Falon 4, c'cftvn grand plaifir de les voir danswne grande place 0IAnar ta d' 1 r.. '1 '1 d l' r "~at.aye. ansvne campagnep lhieurs a c leua, ont vnle met. courir, & vn autre apres , qui le fu~c à toute bride auecvn:zagaye à la main, cette zagaye efr ordinairement vn baftoJ1.quarré fait d'vl1e brandIe de palmier,. 10ng d'enuiron troispieds, & gros deux ou trois fois comme leppuce. Qgand lepoùrfuiuant eft bien proche de celuy qu'il pourfuit, & quaûà la longueur de fon :bafron,. illurdard.e fa zagaye dans ledos fi adroitement .;;tuee vn tour de main qui en redouble b.force, qu'il reçoit le coup du bout fi fortement que quelquefoisils'en fàit des playes fore oonGdera;bles, quelquefoismefine à la tefre. l'enVIS vn au Caire auquel il fallut cirer VIIos'de la tefte,. aprés rauoir efté ble:(fé d\rne zagaye. Or ceIuy qui eft deuant& eft pourfuiui,regarde de cafté en fuyant"t~nt pour baiifer la tefte, s'il eft de hefoin, que pour tarcherde prendre la. zagaye, & Inefme rompre laforce du coup s'ipeut,. & pour cela il tient fa main toute prefre derriere,.quand il attrape la za~aye, ce qui amlte alfez (!)Uucnt,.court aprés l'autre ,& ~hal1gel1t aufli-toft tous deuxdepefonnage. Ils fonc fouucllt cét exercicc,. comme auffi celuyde tirer au blanc auec vne arquebufe en courant. V