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~~.~ ~~~~~$~~~A~**~1t~!t~~Jlt~~~~~~~~~~*PRE FA CE·'ATTRIBVE commeles autres l'impreffion de~on liure à-l'empre1fement de mes amis, &;prinçipal~mentà la çonfideration d'vne perfonncà qui ie fais gloire d'obeir &; qui m'a.demandé quelques infrruttions fur certainslIeux de mon Voyage: comme ie n'en auaisfait les remarques que [ur des l)roüil1ans en papiers feparés,il s'eH: paffé quelques années {àns que i'aye voulu fongerà les mettr~ au net) parce que ie m'dtais toufious perfuadéqu'il eftoit fort peu neceffaire apres de fi dottes Efcriuainscomme Mellieurs de Breues ,des Hayes, du Loir a(d'Opdam,de donner au public des mftruél:ions des lieux dontils ont efcrit fi. fçauamment& auec tant d,'auantage -: commencammoillS on m'a remontré quelafac;e des choCes fechange ,que ce qui [e pratique auionrd'huy dtbien ditferentde cc qui [c faifoit en\eurtemps)'1u'on ne peut pas toUtremarquer & tout dire, &; qu'il n'y a point de liure de voyagequi n'inftruifc; outre cela ayant confideré qu'il yauoitbeaucoup de particulier &. c:iecurieux dans mes mem oires,..& que ie pouuois donnerpluG~urschofes,doat onn':l pointencore ou au moins tres-peu efcrit, ie n'ay point fait diffi.culté d'en'faire quelqu'ordre, &; confentir qu'ils fu ffentimprimés; il cft vray que ie l'ay fait à la hafte , & quei'aurois deu auoir pris plus de temps pour enrendre l'élocutionplus polie, mais quelques affaires m'en ont empefché& fay creu que la naifueté du langage en feroitnlÎeux cOllccuoir la verité: ie ne dis rien de la preo ccveationdes d'prits fur la letture 'lU'on en fera, il faut en laiC..(er le ftlCCCZ au fort & au gouf1: que l'on yprendra:1a diuerencft fi gcandequ'iJ eOt ditiid1e' d'en iuger; ie connoisllQut lc~ètu~l~'~e~;Ue,~~udtoit comporer des. liures