pdf-Datei 3.14MB - Schweizer Fleisch-Fachverband SFF
pdf-Datei 3.14MB - Schweizer Fleisch-Fachverband SFF
pdf-Datei 3.14MB - Schweizer Fleisch-Fachverband SFF
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
der Kommunikationsbeiträge und damit verbunden mehr Bundessubventionen<br />
bedingte. Das Engagement von Proviande wird vom <strong>SFF</strong> nicht etwa<br />
als Konkurrenz empfunden, sondern als willkommene Entlastung, die es<br />
ihm ermöglicht, sich stärker auf einzelne Produkte zu konzentrieren. Im<br />
Vordergrund standen der Metzgerkalender, die Metzgerchecks, das «en<br />
guete» sowie Food on Fire, das 2011 von 210 <strong>Fleisch</strong>fachgeschäften bei<br />
prächtigstem Sonnenschein durchgeführt wurde. Unvergessen bleibt<br />
auch das Wurstfestival, das mit tatkräftiger Unterstützung des <strong>SFF</strong> und<br />
zahlreicher Sektionen und Mitglieder im Historischen Museum Luzern<br />
und an der LUGA stattfand.<br />
Der wichtigste Anlass des Jahres war aber zweifelsohne die Mefa, die<br />
wiederum im November parallel zur Igeho in Basel stattfand. Die Besucher-<br />
und Ausstellerzahl war gegenüber 2009 konstant, die Zufriedenheit<br />
hoch. Das Metzgerstübli profitierte vom grösseren Platzangebot und war<br />
fünf Tage lang der Branchentreffpunkt schlechthin. Da kein Qualitätswettbewerb<br />
stattgefunden hatte, präsentierte das ABZ eine Auswahl an<br />
bekannten und weniger bekannten <strong>Schweizer</strong> Würsten und trug dabei zu<br />
einem guten Publikumsaufmarsch am Gemeinschaftsstand der Verbandsinstitutionen<br />
bei. Die <strong>Fleisch</strong>fachtagung markierte am Montag einen weiteren<br />
Höhepunkt: Unter Leitung von Urs Gredig (SF DRS) informierten und<br />
diskutierten Albert Baumann (Micarna SA), Ständerat Rolf Büttiker (<strong>SFF</strong>),<br />
Dr. Roland Charrière (BAG), Alexandra Schmid (ALP) und Prof. Dr. Achim<br />
Stiebing (FH Lippe-Lemgo, DLG) über aktuelle Konsumentwicklungen und<br />
Innovationen in der <strong>Fleisch</strong>wirtschaft.<br />
<strong>Schweizer</strong>meisterschaft an der Mefa 2011.<br />
Championnats de Suisse à la Mefa 2011.<br />
Les principales statistiques sur le marché de la viande se trouvent<br />
aux pages 27 et 28.<br />
Journal «Viande et traiteur»<br />
Verbandsgeschehen<br />
Vie de l’Union<br />
Grâce à la Mefa qui a encouragé de nombreux fournisseurs à placer des<br />
annonces, les résultats financiers de «Viande et traiteurs» pour 2011 sont<br />
à la hauteur des attentes. Les annonces sont en effet une source de fi-<br />
nancement capitale pour notre journal. Avec la baisse du nombre des<br />
lecteurs parallèlement à celle du nombre des boucheries-charcuteries,<br />
le revenu des seuls abonnements ne permettrait pas une publication en<br />
trois langues. Ceci d’autant plus que le prix de l’abonnement est resté<br />
inchangé pendant pratiquement 20 ans. Le nombre de page est resté en<br />
moyenne au même niveau que les années précédentes, et nous sommes<br />
également parvenus à maintenir le volume des pages en français et en<br />
italien. Il faut aussi mentionner à ce propos la collaboration de longue<br />
date avec les traductrices qui accordent à l’UPSV des conditions favorables<br />
et qui ont acquis au fil des ans un bon vocabulaire professionnel.<br />
Contacts avec les médias<br />
L’ampleur des articles consacrés à la viande a encore augmenté dans les<br />
médias grand public ces dernières années. C’est ainsi que le Secrétariat<br />
s’est vu confronté à nouveau en 2011 aux demandes les plus diverses. Il<br />
a été question entre autres du scandale de la Coop, de la disparition des<br />
boucheries, des conséquences de la crise des boyaux pour les cervelas<br />
et de nombreuses autres histoires.<br />
Malgré le travail que tout cela représente, nous devons saluer le fait<br />
que les journalistes se donnent la peine de contacter l’UPSV avant de se<br />
mettre au clavier de leur ordinateur, ce qui permet souvent de clarifier<br />
des malentendus. Par contre, il y a de quoi s’énerver lorsque les journalistes<br />
lancent ou retransmettent au monde des fausses informations en<br />
raison de recherches insuffisantes. Une série d’articles aux effets clairement<br />
négatifs sur la consommation de viande sont la preuve d’un travail<br />
toujours plus superficiel de nombreuses rédactions, provoqué d’une part<br />
par une pression interne, mais en partie aussi par l’implication croissante<br />
de stagiaires qui ne sont pas suffisamment suivis.<br />
Mais l’UPSV ne s’est pas contentée de réagir aux médias, elle a aussi<br />
proposé ses propres orientations. Cela était en particulier le cas avec la<br />
traditionnelle conférence de presse annuelle au printemps qui fut l’occasion<br />
de souligner la problématique du manque de relève qualifiée et<br />
la question de la qualité. Mais il y a aussi eu la conférence de presse<br />
consacrée au tourisme des achats, organisée à l’occasion de la sortie<br />
d’une étude sur le sujet commandée par l’UPSV et qui a trouvé un écho<br />
favorable dans la presse. Quant à l’excursion avec les journalistes, qui<br />
nous a conduits en 2011 dans le canton les Grisons, elle était consacrée<br />
à la production de viande séchée des Grisons, faisant ainsi utilement le<br />
lien avec le projet Swissness.<br />
Marketing<br />
En ce qui concerne le marketing, on a constaté ces dernières années un<br />
léger glissement de ce secteur de l‘UPSV vers Proviande. Cette dernière<br />
a renforcé sa publicité en faveur de la Viande suisse sur tous les canaux,<br />
ce qui a nécessité une augmentation des contributions de communication,<br />
à laquelle est associée la hausse des subventions fédérales.<br />
L’engagement de Proviande n’est pas vu par l‘UPSV comme une sorte<br />
de concurrence, mais au contraire comme un allègement bienvenu qui<br />
nous permet de nous mieux concentrer sur certains produits spécifiques.<br />
Nous mettons au premier plan le Calendrier des bouchers, les chèques<br />
des bouchers, le magazine «bon appétit» ainsi que la journée Food on<br />
25