OH LIFE CLASSIC CARS

l’XK140, le moteur XK de 190 ch (ou
210 ch en version SE), la boîte manuelle
à 4 rapports complétée d’un overdrive
(en option) ou une Borg Warner automatique
à trois rapports…
Héritage de l’activité en compétition:
les freins à disque. Le tout souligné par
le médaillon porteur des victoires au
Mans. Mais sportive, l’XK150 ne l’était
plus vraiment. La correction est apportée
en 1958 par l’XK150 S roadster
proposée dans deux configurations.
Dans la plus puissante le moteur XK
3.4 l développait 186,4 kW/250 ch. Il
était accouplé à la boîte manuelle à 4
rapports complétée d’un overdrive de
série. La direction à crémaillère était
apparue avec l’XK140.
Les formes de la carrosserie s’étaient
«remplies» avec les années, permettant
à l’habitacle d’offrir plus de largeur
aux épaules et l’intégration de
vitres latérales commandées par lèvevitre
manuel. Le pare-brise est maintenant
en un seul élément bombé
sur les bords… Elégant mais pas idéal
sous la pluie, les bords étant inaccessibles
aux balais d’essuie-glace.
Un an plus tard, le six cylindres XK 3.8 l
(197,6 kW/265 ch) de la future E-Type
est glissé sous le capot. Il apporte du
punch et de la vitesse (212 km/h). A
peu de chose près celle de l’XK120 carénée
et dotée d’un mini saute-vent à
Jabbeke le 30 mai 1949.
L’évolution de la lignée XK120-140-
150 a été dictée par le souci de répondre
au principal marché d’exportation
: les USA. Sans ce marché-là,
l’XK120 n’aurait été qu’un modèle
produit en toute petite série pour
renforcer l’image de la marque et …
vendre des berlines Mark VII !
Comme projeté initialement…
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