OH LIFE CLASSIC CARS

suis accueillie en héroïne au stand, personne
- ni moi - ne me croyait capable de réparer !
Nous finissons 11èmes.
Le film officiel du Centenaire a voulu faire un
«remake» de cet épisode. Mais la prise de
vue se déroulait en février, par un froid de canard…
mon nez rouge et le pare-brise gelé
de l’Inaltéra en témoignent. Il semble (c’est
Fabrice Bourrigaud qui le dit) qu’en réparant
cette panne en bord de piste je fasse partie de
la légende des 24 Heures !
2023, enfin !
Départ de Bruxelles différé pour ce Centenaire
des 24 Heures avec mon frangin Lucien : je dois
récupérer ma veste chez une amie chère et spéciale
depuis plus de 60 ans, Martine FRÈRE.
Oui, la fille de Paul, vainqueur des 24 Heures
en 1960 avec Olivier Gendebien. Ado, j’avais
écrit à Paul pour lui demander comment devenir
pilote, il m’avait gentiment conseillé la
patience. Nous étions devenus amis lors d’une
rencontre à Zolder, avec Martine, dite Martin…pas
par déception comme le sous-entend
un certain Antoine Seyler qui se proclame son
fils spirituel.
Reconnu de tous, ce terme revient, évidemment
à Pierre Dieudonné, pilote et journaliste émérite.
Fin de la parenthèse, nous partons pour Le
Mans, Lucien et moi. Un parking à perpète ne
nous décourage pas, le total de la marche du
week-end s’élèvera à 11 km ! Depuis la passerelle
Dunlop, les casquettes de couleurs différentes
convergent vers la ligne de départ. Sur le
toit d’un camion, Bruno le speaker interviewe
Jacky Ickx et Tom Christensen. Dans cette marée
humaine, je retrouve Sébastien Bourdais,
Nigel Bailly et son ami Frédéric Sausset.
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