Société archéologique, historique et scientifique de Noyon ... - Index of

Gui, châtelain de Coucy, qui suivra;
Ives, châtelain de Xoyon, qui suit;
Jean, clerc; (1)
Herloy. (2)
Ives II de Coucy. Il souscrivit la charte dans la-
quelle, en 1124, Simon de Vermandois confirma la conces-
sion par Alard de Ham à l'abbaye de Prémontré de son
aleu de Bonneuil. (3)
A la mort, qui arriva du temps de Simon de Vermandois,
de la veuve d'Ives I" Ilelisabet, le prieuré de Saint-Léger-
aux-Bois comptait se mettre en possession des vignes
qu'ils lui avaient données; mais Ives II prétendit qu'elles
lui appartenaient comme faisant partie de l'hoirie d'Ives I",
aux droits duquel il était. L'affaire vint devant la Cour
épiscopale, où les parties finirent par
s'accorder.
(4)
En 1125, il donna à l'abbaye de Saint-Barthélémy de
Noyon, dans l'intention qu'une maison religieuse y fut
établie, le lieu appelé Bellefontaine situé à la limite des
liarde, femme de Raoul le veneur, Adelvie, Enguerrand, sire de
Coucy, et Guy renoncèrent, à son profit, à tout droit de coutume
et vicomté hujus vinee consuetudinem Adelvia,
vicecomitissa, remisit vicecomitatum autem tam Ingerannus
dominus, quam Guido, castellanus, remisit. (D. Cotron, Chron.
eccl. et mon. Beatœ-Mariœ de Nogento subt. Cociacum.J
(1) II souscrivit la charte par laquelle Barthélémy, évêque de
Laon, constate que Gui, sur les démarches de Godefroy, abbé de
Nogent-sous Coucy, s'était dessaisi du patronage de la cure de
Coucy-la-Ville, sous la condition que son fils Jean, clerc, la posséderait
durant sa vie Quidam Guido, petiit ut altare idem
quodam filio suo facto clerico, Johanne nomine, dum adviveret
ipse filius habere permitteret. S.Johannis, clerici, qui predictum
altare tunc de ecclesia Novigenti tenebat. ('ld.J
(2) Voir à l'article de Gui II.
(3) S. Ivonis, castellani. (Cart. de Prémontré
(4) Quo etiam defuncto (Hugues 11), cum Ilelisabet vineam
dotis sue longo tempore tenuisset nostris temporibus et ipsa migravit
a seculo, tuncvero Yvo junior castellanus, antiqui Yvonis
successor, vineam, quasi hereditario jure, si bi usurparenitebatur.
(Chai te de Simon de Vermandois ci-dessus relatée.)