LECTURE ANALYTIQUE (textеs des écrivains français du XIXe siècle)

VIII. Etude du texte.
1. En combien de parties peut-on diviser le fragment?
2. Dégagez l’idée maîtresse du texte.
3. Déterminez le style dans le fragment (narratif, descriptif, etc.).
4. Comment l’amour de l’or et la haine de la dépense sont-ils exprimés?
Quel est le rôle de l’argent?
5. Trouvez les comparaisons métaphoriques et dites quelles images elles
créent.
6. Montrez la semblance de la maison de Grandet à une prison.
7. Comment Grandet exerce-t-il une domination sur son entourage?
8. Quelle idée Nanon exprime-t-elle?
9. Faites le portrait de la grande Nanon.
10. Parlez des relations entre M.Grandet et sa servante.
11. Décrivez les conditions de la vie de Nanon chez M. Grandet.
12. Trouvez les cas de l’ironie de l’auteur.
13. Quelle est la signification du verbe appartenir dans la phrase «La
Grande Nanon, ainsi nommée à cause de sa taille haute de cinq pieds huit
pouces, appartenait à Grandet depuis trente-cinq ans»?
14. Par quels moyens de la langue la figure organisatrice du passage
(l’image du chien) est-elle réalisée?
15. A quelles comparaisons recourt Balzac pour créer cette image?
16. Quel est le rôle du discours direct dans le fragment?
17. Faites l’analyse du fragment.
IX. Etude de la grammaire.
1. Justifiez l’emploi de l’imparfait dans les phrases suivantes:
a) Toute la ville l’enviait à monsieur et à madame Grandet;
b) Le père Grandet pensait alors à se marier, et voulait déjà monter son
ménage;
c) Si Grandet coupait le pain avec un peu trop de parcimonie, elle ne s’en
plaignait pas; elle participait gaiement aux profits hygiéniques que procurait le
régime sévère de la maison où jamais personne n’était malade;
d) Sa cuisine, dont les fenêtres grillées donnaient sur la cour, était toujours
propre, nette, froide, véritable cuisine d’avare où rien ne devait se perdre.
2. Justifiez l’emploi du passé simple dans les phrases suivantes:
a) Il avisa cette fille rebutée de porte en porte;
b) Il vêtit alors, chaussa, nourrit la pauvre fille, lui donna des gages, et
l’employa sans trop la rudoyer;
c) En se voyant ainsi accueillie, la Grande Nanon pleura secrètement de
joie, et s’attacha sincèrement au tonnelier, qui d’ailleurs l’exploita féodalement.
3. Quelle est la valeur du présent dans le texte?
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