LE GENOCIDE DES ARMENIENS et DES KURDES DE ... - Pen-Kurd

lors des débats parlementaires que l’article pénal en question ne s’appliquait pas
seulement à la Shoah a été confirmée par la décision d’un tribunal.
Par conséquence, le 18 juin 2007- la Cour de Cassation vaudoise a
confirmé le verdict prononcé par le Tribunal de Police de Lausanne
condamnant Dogu Perinçek, pour violation de l’article 261bis du Code
pénal. En effet, en 2005, Dogu Perinçek avait nié publiquement et à plusieurs
reprises le Génocide des Arméniens. La décision intervient à un moment
politique marqué par les manoeuvres du Conseiller fédéral Christoph Blocher,
visant à la suppression de la norme pénale antiraciste.La condamnation de M.
Perinçek constitue la confirmation de ce que nous avons toujours dit, à savoir
que l’article 261bis du Code pénal en matière de négationnisme ne pose pas de
problèmes particuliers d'application. Loin de vouloir transformer la justice suisse
en tribunal de l’Histoire, ce verdict ne fait que réaffirmer la réalité du génocide
commis à l'encontre des Arméniens en 1915 et la nécessité de condamner tout
acte raciste visant à nier l’existence des crimes contre l’humanité.Periçek n’est
pas seul « Ne nions pas la douleur arménienne, (Par AHMET INSEL (Ahmet
Insel enseigne à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne et à l'université
Galatasaray. Ce texte est paru dans le quotidien turc «Radikal»), Libération,
Rebonds, 5 fevrier 2001, p. 6. ), Personne n’a pas porté plainte contre lui à Paris
qui dans le même cas que Dogu Periçek. « Le vote par le Parlement français,
dans l'urgence et à l'unanimité, d'une loi reconnaissant le génocide arménien,
s'explique probablement par l'approche des élections municipales. Le sentiment
de culpabilité de la France au sujet de son passé colonialiste, les souvenirs
refoulés de sa responsabilité en Algérie ou de son rôle ambigu dans d'autres
massacres du passé ont dû jouer dans ce travail de mémoire. » Mais Ahmet Insel
n’a jamais parlé du génocide des grecs et des Kurdes, lors d’une conférence
organisé par les Verts à Paris à la municipalité, il parlait des « Bandes Kurdes »
alors que lui même fait parties « des bandes neo-fascistes turcs » de l’Etat
Major.. Or les « bandes » des protecteurs de villages qui ont été invités par
Yasarbuyukkanit au siège de l’Etat Major.Ces 65.000 kurdes paramilitaires
sous la direction de l’Etat Major formés,militarisés contre l’indépendance du
Kurdistan actuel sont des « bandes Kurdes « d’Ahmet Insel, comme 53.000
militaires des régiments Hamidié, qui font partie l’armée officielle de l’Empire
Ottoman, qui ont été utilisés comme les musulmans albanais et de l’Afrique du
Nord, des musulmans de Caucase, qui ont été utilisés par unionistes et
Kémalistes dans le génocide des arméniens jusqu’en 1923.Le chef de l’Etat
Major turc a reçu au siège de l’Etat une délégation des protecteurs Kurdes
sunnites le 14-08-2007, date à laquelle les organisation terroristes de l’Armée
turque TIT et JITEM ont massacré la population de la ville de Shengal et ont
tués 800 et blessés 820 personnes.
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