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Les partisans du <strong>Tawhid</strong> aiguisent le sabre du <strong>Jihad</strong> sur la tête des menteurs<br />
2°) «…O messager de Dieu dois-je combattre ou me convertir à l’islam ?… »<br />
Ainsi, il est facile et juste de dire, sans aucune erreur possible, que l’homme en question, était<br />
un non musulman, donc un mécréant étranger à la foi de l’Islam, d’où cette demande<br />
d’autorisation au Prophète . La réponse de celui-ci fut de se soumettre à l’islam d’abord.<br />
3°) « …Il a fait une petite œuvre et a reçu un grand salaire… »<br />
Le commentaire de notre Bien aimée au sujet de cet homme, qui énonce qu’il n’a fait<br />
qu’une petite et simple œuvre, à savoir, sa soumission a l’Islam et qu’il a reçu pourtant en<br />
retour une récompense improportionnelle à cette acte.<br />
Maintenant considérons ce hadith dans son ensemble ;<br />
Un homme déjà prêt en armure – l’ordre de mobilisation étaient lancé pour faire face aux<br />
Quraychites qui avançaient vers Médine – mécréant, il se soumet à l’islam et se convertit,<br />
sous le conseil de notre prophète , pour pouvoir aller combattre, et meurt au combat sans<br />
aucune autre œuvre significative que celle de sa conversion.<br />
Dés lors revenons aux ambiguïtés actuelles utilisées par les cœurs ignorants ou malades et<br />
considérons bien que cet homme, à l’origine, n’était pas musulman ;<br />
Où est l’apprentissage de la ‘aquida?<br />
Où sont même ses œuvres rituels obligatoires ?<br />
Or comment cela se fait-il, qu’aujourd’hui, on rétorque à des musulmans désireux de<br />
combattre les agresseur, ceux que le Prophète lui même n’a pas rétorqué à un<br />
mécréant dans la même situation ?????<br />
Ainsi notre noble prophète lui conseilla seulement de se convertir, avant de partir au<br />
combat, et non pas d’apprendre quoi que se soit ou réaliser tel ou tel acte.<br />
D’ailleurs à ce propos, Cheikh <strong>Al</strong> Islam Ibn Tayymiya énonce, toujours dans son œuvre<br />
intitulé « la Politique légale dans la réforme du gouverneur et de son peuple » :<br />
« D’autre part, toute personne doit vivre et mourir et c’est en faisant le <strong>Jihad</strong> qu’on peut<br />
vivre et mourir avec un bonheur ultime en ce monde et dans l’après. Abandonner le <strong>Jihad</strong><br />
implique la perte partielle ou entière de ce bonheur. Des gens veulent pratiquer des actes<br />
spirituels et temporels complètement difficiles malgré leur manque d’avantages, alors que le<br />
<strong>Jihad</strong> est religieusement plus salutaire que tout autre acte plein de difficultés. »<br />
Et nous nous rappelons, encore, que d’après les chroniques, le cheikh al Islam, lui même allait<br />
cherchés les habitués des tavernes clandestines de Damas où l’on servait des boissons<br />
alcoolisées, pour les poussés au <strong>Jihad</strong> contre les tatars.<br />
De plus, cela nous rappelle cette histoire, qui nous est relaté par le Cheikh Kandalawi, dans<br />
son livre « Hayatou As Sahaba », transmise auparavant par Ibn Abou Shaybah et Ibn Abdoul<br />
Bar dans <strong>Al</strong> Isti’ab (V.4 p. 187) :<br />
« Ibn Sirine raconte que Abou Mahjan Ath Thaqafa, n’a cessé d’être flagellé à cause de son<br />
alcoolisme qu’à la fin on l’enferma et le ligota. Le jour de la bataille de Qadisiya, et de sa<br />
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