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With a large crane on site, Stewart
World Port can handle breakbulk
and heavy lift cargo.
Grâce à sa grosse grue, le Stewart
World Port peut manutentionner
des marchandises diverses et
des charges lourdes.
Stewart World Port
Un gazoduc pour l’exportation du GNL, ce serait un atout
formidable, et le Port est sur le trajet des trois pipelines projetés
pour la C.-B.
«Nous avons un quai de 230 mètres avec un tréteau
d’accès de 70 mètres qui fournissent une excellente profon-deur
d’au moins 18 m à marée basse. Les navires Panamax peuvent
déjà y accoster», a-t-il souligné. Le quai est aussi conçu en prévision
d’une troisième phase qui verra la construction de hangars
à concentrés, ainsi que la mise en place de convoyeurs de
déchargement et de chargeurs de navire.
Située dans le «Triangle d’or», peut-être la région minière
la plus riche d’Amérique du Nord, la ville était autrefois
connue sous le nom de «Porte du Klondike». Toutefois, comme
c’est souvent le cas pour les villes minières, la population y a
fondu et est passée d’environ 10 000 habitants au début du
XIX e siècle à 500 aujourd’hui. La région de Stewart a malheureusement
souffert d’un manque d’investissements dans
les infrastructures et elle n’est pas desservie par le train, ce
qui est un inconvénient que l’on espère toutefois voir bientôt
corrigé.
Le Port est bien situé pour l’importation de matériel
des-tiné aux industries minières et forestières du nord de la
Colombie-Britannique et du Yukon, de même qu’à l’exploitation
des sables bitumineux albertains. Il fournit également un
débouché à l’exportation pour de nombreuses mines, en exploitation
ou encore au stade des autorisations, qui pourraient
y expédier toute une série de concentrés de minerai, de même
que pour des compagnies exportatrices de produits forestiers
(billes et copeaux de bois par exemple), de pétrole, de GNL et
de charbon anthraciteux.
Cependant, la mine qui a le plus grand potentiel, c’est la
grande mine de cuivre et d’or dont le gouvernement de la C.-B.
vient d’autoriser l’exploitation. Celle-ci, qui sera exploitée par
la Seabridge Gold Corp de Toronto, est située à 65 km au nord
de Stewart et ce serait, dit-on, la plus importante mine d’or et
de cuivre non encore exploitée du monde. On estime sa valeur
à 5,3 milliards de dollars canadiens.
LNG pipe is a “huge prospect and we’re very
close to all three of the pipelines planned for B.C.”
“We have a 230 meter-long dock with a 70 meter-long
approach trestle in very deep water of -18
meters at the shallow end at low tide. At present
a Panamax can berth at the dock,” he said. The
dock is also designed for a third phase which will
be bulk concentrate sheds, load out conveyors and
ship loaders.
Located in “The Golden Triangle,” perhaps the
richest mining territory in North America, the town
was once referred to as “The Gateway to the Klondike”.
And, being a mining town, its population has
fluctuated wildly from roughly 10,000 in the early
1800’s to 500 at present. Unfortunately, the Stewart
area has suffered from a lack of investment in
infrastructure and has no rail service which is a
drawback, but this will hopefully soon change.
The port is well located for the importation of
equipment for the mining and lumbering industry
in Northern B.C. and Yukon as well as the Alberta
oilsands. It will also provide an export outlet for a
long list of mines, some old and some still in the approval
stages, including a grocery list of bulk mineral
concentrates, as well as companies shipping
forestry products such as logs and wood chips, oil,
LNG and anthracite coal.
But, the largest potential of them all will be a
massive gold and copper mine recently approved by
the B.C. Government. To be built by Toronto-based
Seabridge Gold Corp, the mine, located 65 kms
north of Stewart, is being referred to as the world’s
largest undeveloped gold and copper mine with an
estimated cost of C$5.3 billion.
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