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BILLET Les labels équitables, constat d’échec des marques ? COLUMN Investeer in je rechter hersenhelft On voir fleurir au cœur de nos rayons de plus en plus de labels équitables. Fairtrade, Rainforest Alliance, UTZ et consorts, ils colonisent nos emballages avec un enthousiasme qui ne semble pas connaître d’essoufflement. Et on ne peut bien évidemment que s’en réjouir. Cela pose cependant une question fondamentale en termes de gestion des marques. La fonction d’une marque est avant tout de rassurer. Rassurer sur la qualité du produit, sur l’intégrité du processus de fabrication, sur la sécurité d’utilisation. La marque a également pour rôle de se charger des valeurs de l’entreprise, valeurs avec lesquelles le consommateur doit pouvoir s’identifier. Si des marques, souvent établies de très longue date, ressentent le besoin de s’adjoindre un label équitable, n’est-ce pas alors un constat d’échec ? Cela ne signifie-t-il pas que ces maques ont renoncé à convaincre le consommateur qu’elles pouvaient elles-mêmes assurer l’équité de leur chaine d’approvisionnement et être porteuses de valeurs de solidarité ? Elles doivent donc compenser ce déficit de confiance en s’associant à des labels porteurs de ces valeurs. Ces labels font bien sûr plus qu’apporter du branding, ils mettent aussi à disposition toute leur expertise en termes de certification et assurent une redistribution plus juste des richesses. Gageons cependant que des grands acteurs tels que Nestlé, Unilever ou Mondelez pourraient sans problème assurer eux-mêmes cette fonction. Le cœur du problème est donc, selon moi, dans la perte de confiance que les grands groupes ont à subir de la part des consommateurs. Cela les force à adjoindre à leurs marques des béquilles garantissant leur intégrité éthique. On ne peut que s’en réjouir pour ces labels et bien sûr leur souhaiter de progresser encore longtemps. On peut aussi se demander si leur plus grand succès ne serait pas, un jour, de disparaître. Ce serait le signe d’un équilibre retrouvé dans la distribution des richesses… et d’une confiance retrouvée entre consommateurs et producteurs. Elke dag verschijnen er verhalen over een versnellende automatisering. Robots, 3D-printers en artificiële intelligentie zullen de komende decennia de arbeidsmarkt op zijn kop zetten. Deze beweging is al meer dan 10 jaar geleden ingezet waardoor er de komende jaren steeds meer banen op de tocht zullen komen door de agressieve automatisering. Call center-medewerker, data-analist, boekhouder of chirurg, het maakt niet uit. Elk beroep staat onder druk. Wat betekent dat voor de toekomst? Wat zal de impact zijn op onze eigen carrière of de carrière van onze kinderen? Volgens mij zijn er slechts twee opties: ofwel ben je technisch aangelegd en help je de automatisering verder uitbouwen. Ofwel investeer je in je rechter hersenhelft. Laat ons eens doorgaan op die tweede piste. Computers zijn nu al een pak sneller in data-analyse dan mensen. De komende jaren zal het verschil tussen mens en machine alleen maar groter worden ten nadele van de mens. Bij het analyseren van de kracht van computers valt het op dat computers vooral uitblinken in de linker hersenhelftactiviteiten. Computers zijn goed in analyseren, data verwerken en exact uitvoeren wat er op voorhand bepaald is. Maar ze staan nog nergens als het om de rechter hersenhelft gaat. Mensen kunnen het verschil maken als ze uitblinken in die domeinen waar computers beperkingen hebben. Mensen zijn creatief, computers niet. Mensen zijn empathisch, computers niet. Mensen hebben passie, computers niet. Uitblinken in rechter hersenhelftactiviteiten is dus zowat de enige garantie op het behouden van een boeiende baan. De creatieve architect zal nooit vervangen worden door een computer, de gemiddelde architect misschien wel. Hetzelfde geldt voor de gemiddelde versus de creatieve boekhouder of call center-agent. Investeer dus stevig in je rechter hersen-helft en die van je kinderen. Durf meer te leren over creativi-teit en empathie om in de digitale wereld het verschil te maken. Nicolas Lambert Strategy Director Darwin BBDO @nikoalamons Steven Van Belleghem steven@vanbelleghem.biz @StevenVBe PUB 10 11/12/2014 14 Pub_10_14_Column_Steven_v2.indd 14 04/12/14 12:49
Fabienne Dewilde, CROSSMEDIA MANAGER LA FABRIQUE À IDÉES fabienne.dewilde@roularta.be VOS IDÉES LES PLUS FOLLES ONT UNE PLACE CHEZ ROULARTA. Le sac de Mary Poppins contient bien plus que vous ne pouvez l’imaginer. A toute situation, elle en extrait exactement ce qu’il faut. Nous… nous faisons exactement la même chose pour nos clients : nous trouvons la solution adéquate répondant exactement à leurs besoins. Néanmoins, la Fabrique à Idées ne recourt pas à la magie. Même lorsqu’elle sort des sentiers battus. A la recherche d’un projet out of the box ? Nous attendons votre briefing. Nous sélectionnerons des outils efficaces, dresserons un plan cross-média innovant et nous nous assurons que le follow-up soit fluide. Notre approche présente ce petit « on ne sait quoi » de plus qui rend votre projet unique. Pas de bling bling inutile ; il s’agit d’être là où vous serez vu. S’ensuit un effet papillon : un input concis engendrant de grands résultats. VOTRE CAMPAGNE DEVIENT SUPERCALIFRAGILISTICEXPIALIDOCIOUS! Pub_10_15_ADV_Roularta.indd 15 04/12/14 12:49
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