S-1382173-2_PERRIER_Traite_1897.pdf

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PHYTOZO AIRES.
Toute la cla^sii.eatio.i des TETRACriNELUOA es. basée sur la forme et la disposi­
tion de leurs spicules. nomurf
^aZSZÏÏZ P-~ aes modères (M^osc^o-
.„ 1 s gascleres au moment de leur apparition passent par des formes qu
° e distinguent en rien des microsclères; on observe entre les diverses tarnu,
microsclères toutes les transitions possibles. On peut conclure de ces fa. te e
diverses formes de spicules dérivent les unes des autres. Mais les essais de l.luUon
d 7 peul- qni ont été proposés jusqu'ici doivent être considères comme pre,nattés
On ne sait également que fort peu de chose des causes qu, déterminent a
tarme des spicules s, ce n'est qu'elles paraissent indépendantes, dans «ne certaine
mesure, de L nature de la substance dont est fait le spicule, puisque les sp.cu es
calcaires et certains spicules siliceux (ealthrops, sigma, etc.) peuvent présenter
exactement les mêmes formes.
s„onSine. - La spongine, qui forme seule ou assoc.ee a des spicules si. eux le
squelette de beaucoup d'Lponges, est une substance dont la composition e. les propriétés
sont voisines de celles de la so.e. Llle a pour foimule
t. °ll 4fi A/'."ta i iKrukenherg); elle se dissout dans les
acides bouillants, mais résiste à l'action d'une dissolution
ammoniacale de sous-oxyde de nickel qui dissout la soie
(Posselt Chauffée en vase clos dans 1 eau jusqu'à -Htir>
elle devient visqueuse. Il parait exister plusieurs variétés
t de spongine, qui agissent différemment sur la lumière. La
M spongine des Euspongia officinalis, Zinmeca, Stchspongia
cuviinosa, S. scularis, Aplysina aerophoba, Chulinopsclla
' tui.a, Uarieinelln uurca réfracte doublement la lumière.
(.elle faculté manque à la spongine de YAplysillu sulphttrci
(Yusmaer) el peut-être des autres llexareralidés.
La spongine forme des spicules chez, les Ihirivinella,
partout ailleurs elle se dispose en libres très allongées
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