S-1382173-2_PERRIER_Traite_1897.pdf

»gg PHYTOZOAIRES.
diimelre Chez la S.candra raphanus et probablement la plupart des Lpouges calr
I ce e ^s,née a fournir les spermatozoïdes se divise d'abord en d u
X Veille protectrice et la eellule-mère des spermatozoïdes. La cellule j •
tri e eindU J s se diviser, de manière à envelopper l'autre; celle-ci s divise
r n -nd'nombre de petites ce.iu.es dont chacune devient uu spennat.* 1 o
Des faits analogues ont été observés par Polejaeff sur une Ap.ysin.de . £ a
plupart des Kpon.es cornéo-siliceuses, il semble que la première division en tel u e
Xtrice el'cellule-mère de spermatozoïdes n'ait pas lieu; la cellule amtao.d
divi-e de suite eu spermaties. Ces deruie.es demeurent groupées eu une nur se
e ma que contenue dans une cavite tapissée par «n endothe.ium .Oseai-ella ,,A>u-
^T,H,laeca Uujardini, Aplysilla, Ibndnlli, Spongelia, Uitrinia, Puhovi l ,,•, ,
tAiptcUlla, Chalmula fertilis, Thmea, Tetilla proliféra, T. grandis, ( hroMli u^a
Cammus . Lilès forment chez Y Aplysilla emlncca nue couche dense autant de luqtn Ile
nvonnent les .menés des spermatozoïdes.
F
c T : e eHes'fournissent les spermatozoïdes, les cellules amiboïdes du mesoderme
r.mrui—«I aussi les omfs. Kilos grossisse,,, eu conservant d abord, la lat, é
d'effectuer des mouvements amiboïdes et de se déplacer, faculté que pt SM le
encore l'œuf mûr des Kponges calcaires, celui des Uulisarea lujardmi, Osuntla
M,.Mn> etc., ou les lobes rayonnent régulièrement autour de la masse cenl.ah.
Chez les Lpouges calcaires cl un
grand nombre d'Épongés cornéo-siliceuses
les œufs sont isolés; l'œuf
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mur qui mesure jusqu'à o mm. t de
diamètre est le plus souvent immobile
et sphérique; il ne présente pas
de membrane vitelline. seuleuie.nl
son vitellus se divise souvent en une
couche externe plus claire el une
couche interne plus granuleuse. Chez
les Lpouges cornées, chez les Kttspoii-
g'ta, Aplysilla vtolac.ea el la plupart
Ues llKXACKHATlNA, les te.ifs sont ras­
sembles en groupe dans une enveloppe
endothéliale, a la paroi de laquelle
ils sont parfois attachés par
une sorte de pédoncule formé d'une
petite cellule.
La fécondation .leso'i.fs a toujours
lieu a l'intérieur de .'Lpi.nge el I ein-
-.11 —Phase- ,!,- | ,-,i,l.. -/Mlrul» d'un tml.rjuii de |,ry0H se développe soit dans les cas,,,
ndra raphanu, ,„!„,iré de M c.p.ule .-t o-..I.M-n,.u.u.
Un.. •«. -o. ^lodera.* de. ....au. ra.liaui; .,, riUUX effereiltS, SOltdallSlé 1.1» SMm*»odcrme
«•«, cellule» cUire» et .lluntre.-» qui d M-"- . ( j o u |( S|1,.i a Pelai d'eiH/i/lldrunl
l«-.,i„deru.e; «. Kro»v- cellules M,„ |,.r,.,c-r„Dt •
i„u- i.id l'ciodct-aie. ci ,iu, -,.i . t»iu u|,o,|u.: eu lAasttdu ' Lj»nuge.s calcaires, ng. .i»4),
partie ,..>«ïi». — M'aprè, *' K. Sch.ilze). ^ blaslulu, do plauula OU lliellie de
jeune lponge t, (niella Shmidiii.C simttluna).
Chez les \SCOMD>: ou trouve fréquemment des embryons dans la cavite cloacale;