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se rendent vers les houppes génitales. L'anneau dorsal et les branches qui en naissent
ont ete considérés comme des dépendances de l'appareil circulatoire (Tiedemann),
comme des organes d'excrétion (Haman), comme les canaux excréteurs des glandes
génitales Jourdain). Ils contiennent en réalité un prolongement plein de l'organe
piastidogène sur lequel se développent daus le jeune âge les organes génitaux '
L'appareil génital des Ophinrides s présente la même constitution fondamentale
que celui des Stellérides. Seulement le trajet du cercle génital (fig. 677> est moins
régulier et moins bien connu. Les ca?cums génitaux peuvent être échelonnés sur
les tubes génitaux qui en naissent lOphiocoma, Ophioglypha, Ophiomyxa), ou bien se
condenser en une seule masse sur chaque tube (Ophiopholis, Ophiothrix). Us sont
dans tous les cas pressés contre d'assez vastes poches qui s'ouvrent au dehors par
une ou deux fentes situées à la face venlrale du disque de chaque col. 1 do chaque
l'ias. C'est par ces pod.es qui paraissent être surlout des pocln-s respiratoires que
les produils génitaux sont évacues. Il est donc probable qu'elles entrent en communication
a uu certain moment avec les (fiaiules génitales
Le- glandes génitales des Cnuo.iles ont pour origine le corps piastidogène (fig. 700, rg)
ou organe axial comme celles des Stellérides et des Oplutu nies. Il est impossible
chez I adulte de distinguer de- canaux du plexus labial les tubes qui la relient à
' L'historique des otl.-i j.rel.-j.euis .hv.-is.-n anxqu- l.-s a donné lieu l'or«a..i alion si
parli'-ulière .1, s K.liino.i.rinea s.- lioiiw «lins le» ou \ ra an nui vaut* : l.ioi. Pi muni,
Sotioni a tuetlement acquises sur t'oryanisntum des Edanudermei, llibliotliei|in