S-1382173-2_PERRIER_Traite_1897.pdf

,^ PROTOZOAIRES-
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rapidité «oit à l'aide de longs filaments sans cosse ondulants, les ,, .»«..«
" d e courts prolongements vibrants qui les revêtent comme d une to,; ou^
distribuent en bandes régulières, d'une façon déterminée. |es prolonge m r
maneuts delà substance protoplasmique sont les ,, Isv, bralUe U> l o n * •
pourvus d'appendices vibrants sont les INFCSO.UI.S. L ombmuche.no.
!„ires se divise on trois classes, celle des R.HU;u..r,,us, pounus do flag 11 u ,
celle des Cuis pourvus de cils vibratiles et col, dos ^ - a w i u s a,,, . n
une parUe do leur vie sont dépourvus de cils et ine.no de suçons, hn i.u« n U Uur
grande taille et de leur complication relatives les Noct.U.ques .ont le hpe d un
troisième embranchement, celui dos MI.GACVSTIDI:S.
SPOROZOAIRES
I. KMBRANOUEXIENT
Prrkoaircs sans organes spéeiau.v de locomotion, à mouvements lents ou nais,
•produisant en général, u Caide de spores; presque tous parasites.
Se l'CiU'o
Division en das9e*. - La transition ne se fait pas brusquement des Kl.izopodos
aux Siiorozuaires. Dans une première classe, formée surtout de parafes de la peau,
des branel.ies et de divers o, gaues internes des Poi.sons, le corps reste encore
dépourvu de inombi aue et se meut à la façon d'un amibe; il n'y a pas d enkyslcnent;
les spores de formation endogène sont pourvues d'une enveloppe bnalve et piesentent
a leur intérieur un celai., nombre de corpuscules urlicants; ces animaux
constituent la classe des >h NOSIMIRIUIKS. Les membres de la seconde classe, celle
des Suu^roitiun.s, ont décidément une membrane d'enveloppe; leurs spores, en
revanche, sont extrêmement simples; ils vivent en parasites dans les fibres inuseiilaues
striées des animaux à sang chaud. On peut constituer une troisième elass e,
celle des Kvo,roK..,iEs, pour des êtres enfermes dans une membrane d enveloppe
résistante, se reproduisant à l'aide de spores el de .spo, ..les, mais vivant en parasites
externes de divers animaux de,, doue. I.nlin la quatri.-u.c classe, la plus importante
de beaucoup, est celle des Gi.hi.A.UN.i.KS, parasites des éléments cpilbehai.x
ea des cavités ouvertes d'uu grand nombre d'animaux. Les Gregariuidcs, souvent
d'assez grande taille, ont toujonis une ne mbrane d'enveloppe, ^'enkystent el se
repruhiisri.t a l'aide d,- >pure- dai.s l'intérieur desquelles se forment des corpuscules
plus p.'tib, allonges, les rarpasmUs faleifonnes, qui reconstituent autant d'individus.
Ou ajoute quelquefois à ce groupe la classe des Mi.aiosi'oiunn.s dout font partie
les fameuv corpuscuU* de Cmagtin qui déterminent rl.cz les Vers a soie la maladie
Homitro-re connue >ous le nom de pehrine. Il est possible que les Minosporidies.
suient d-'s végétaux.
i ... UALBIAM. Leçons sur Ut Spuruzoaires, lHii.