S-1382173-2_PERRIER_Traite_1897.pdf

,0l. PROTOZOAIRE
.ou
constitue une couche vivante, comme le protoplasme
^nce qui - ^ ^ e J * ^ /aM|f. Cotu, couche manque dans eer-
" 0 cn,D,); .anima, difflue alors avec la plus grande raprd e d» « 1
"en . être ble^e ou que le milieu où il vit cesse de lui convenir. D n> uu
Z n mbrede cas, l'est possible que le corps soit, en outre, v ^ ,
véritable membrane de sécrétion, inerte e. peu épaisse, dune t Uhl u
au-dessous de laquelle l'eclosarque serait plus ou moins dev loppt • - ' l
uemment on n'aperçoit que difficilement cette cuticule sur l a n i m J « • La
membrane d'enveloppe présente du reste, dans sa eoiisistanr n m. > ;
structure, une variété presque infinie. Elle difflue très facilement d, h » imt
c.«m omwia; elle est plus restante chez le P. «»*«. e. forme chez 1 e o
cellines une mince pellicule hvaline, Homogène, non contractile mais .lastiq.u,
quelquefois jaune ou verte ; elle es, rigide et impose au
corps une forme déterminée rigoureusement chez, les < l„lodon,
ït.hnychia et autres Oxylricbides où le tégument n est
peut-être d'ailleurs constitué que par un ectoplasme nu; son
épaisseur atteint 0--002 chez Ylluptophryu gigantea et le llalantidium
elongulum, et forme chez le Chilodo,, dubius et cl.e/. les
V
Kl-puniiM. une sorte de cuirasse (fig. 407). La surface du corps
est souvent marquée de dessins varies on y nperco.l chez les
Hr- *>: - Ay^c, lù.plotides de petits bâtonnets serres, enfouis dans une subiVn,a,«r.
- i.,!,.,.., llvl|ine Dans l'épais tégument des llaptophrya, on discuiras-,'
do la famille sl.ll.i t il),mue. ."." .
d« K.,|.I..I..I.-> (d'«t.r.s |ilIgm, à (le forts jrrossisMMiients de lins canalicules que traversent
les cils pour apparaître au dehors.
I a membrane des lufusones déparait rapidement sous IVlion de la potasse et
de l'acte M.lfurique a froid, ce n'est donc pas de la chitine. La cuticule présente
dans quelque* genres de reniai-quables .lilïerencialions. Chez les r/damiptodon, la
pente variété du Vhdotlon rucullus, les opi.thodoa, il existe, du rôle dorsal, une
bande suivant à une faible distance le contour du corps. Des epaississen.onls en
forme de cotes ou divises en saillies etoilees se renconlrenl aussi chez les Kuplntcs.
Les iiopl.ioplaipi présentent à la partie antérieure de leur corps un ou deux slylels
en forme d'ancre ou de crochet. Mais le plus remarquable de ces appendices esl le
cercle lixatcrdes I n..i OLAHUI.K. cercle, situe sur la face intérieure du corps
de la Trnhodoia ptdkutus, eA forme de U ois cou. lies chiliiicuses concentriques qui
sont de dehors eu dedans : t" nie- mince el l.u-e bande annulaire, que nous appellerons
Yanneau strie; 2 un ce.rie de 2.' a r, ,n„hels; :t" un cercle forme d'autant
de pièces qu'il V a de crochets et qu'un nomme les rayons.
Au point de vue chimique, b's singulières, carapaces du Coleps htrlus et de la Tiarmu
fusu> sont également .les formations cuticulaires, Se rapprochant de la cirasse
des Euptotes; elles se dissolvent, en «1T. t, avec la plu- grande facilité dans les acides
acétique, chromique et sulfuriqu.- même 1res dilues, dans le cbloroiodure de zinc;
elles disparaissent peu à peu dans la polaw; et peul-être plu- vite encore dans l'eau
pure ou gljrerinee; elles ne se colorent ni pai I iode, ni pai la safrainne. I.a carapace
de» Cohps est formée de soixante pièces rectangulaires, disposées en quatr. vertl-
cille s d,- quinze pièces, d'un v. ili