S-1382173-2_PERRIER_Traite_1897.pdf

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la partie du corps adhérente aux corps étrangers chez les MyaAtheli. Chez les
rtava dqmn.eoryni, YortieUca, Cladocorync il recouvre les tubes du .eseau basilaire
et fournit une courte gaine aux gastromérides. La gaine s'étend sur l hydrocaule
jusqu'à la partie renflée des gastromérides chez les Cordylophova. lulnclava,
Merona Tunis, Corydendeai, etc.; elle remonte sur l'hydroméride jusqu'à la base
d,s tentacules chez plusieurs Perigonimus. où elle peu! être remplacée par une
couche géla]ineuse arrivant jusqu'à la bouche (P. pulliatus); elle s évase avant de
se terminer chez diverses espèces dEudcndrium et arrive chez les Buncna a former
une -aine à la base des tentacules. Chez tous les Calyptoblastiques, le périsarque
revét C rhvdrocaule, s'épanouit en coupe pour recevoir les gastron.ernles, fournissant
ainsi \e< t,t,i,-Ah, tpics el enveloppe les gonangium de capsules chit.neuses présentant
souvent des caractères remarquables et qu'on nomme les gonothègues. Les
Indrotbèques des CAMPANULARIDS sont en général terminales et en forme de coupe,
de clochette, d'entonnoir (lig. Y>Y. elles sont quelquefois emboîtées en file les unes
dan- les autres 'llnlmuw hule-inum, muricutum, Bcunii, tcleseopium, flexile, cym,forme);
leur bord libre est lisse ou denticulé. Chez la Cryptolaria genieulata il y a quatre
denL doux triangulaires et immobiles opposées, deux rectangulaires et mob.les,
pouvant se rabattre lune vers l'autre et s'appuyant par leur bord, lorsqu'elles sont
rabattues s„r le bord des dents immobiles Les dents s'allongent en triangle el sont
susceptibles de se rabattre l'une sur l'autre de manière à obstruer complètement
l'orifice de l'urne, dans un assez grand nombre de genres ,p. tW-r Les l.ydrotheqt.es
sont au contraire largement ouvertes et en forme de tubes recourbés en
dehors chez les Lafoca.
Il ,„s le* familles des SERTi'LARin.K et des ANTKNNULARID.E les bydrolheques sont
sessiles et adhérentes par une assez grande partie de leur étendue à la tige qui les
supporte; elles sont disposées sur deux rang* dans la première de ces familles, sur
un seul dans la seconde. Toutefois bien qu'appartenant à la famille des SEHTULAllID1
le. imlqoAndium présentent des hydi'otheques tout autour de leurs branches
et h- iiylralhnania n'en ont qu'un seul rang. Les calices bis.iies des Siiiiri'LA-
,,DX peuvent .Ire alternes et éloignés les uns des autres, ou alternes el parfois
assez rapproches pour panilre opposes, ou franchement opposés. Les hydrothèquos
qui naissent au même niveau se trouvent quelquefois d'un même c.'.lé de la tige
j,,smvs,,iphus); d'autres fois deux paires consécutives d'hydrothèques sont dans
des plans p.rpei.d.cul...res SM.i,^„r,.i, Les bydrotlieques ont en général la forme
de petites bouteilles, plus ou moins recourbées vers l'extérieur, à orilice entier
s, •{„/„>,„ ab„t,aat ou plus souvent deuticule. Cet orilice est ferme chez les
Dtplmsia par un opercule eu forme de clapet; il existe un clapet membraneux chez
les lit", et diverses Scrtulana ont loiilice de leur hydrolhequo protégé par trois
„u quatre lames triangulaires qui se rabattent sur lui en se juxtaposant sur touto
la longueur de leurs cotes - p Aqzoïitas, S. C„nji, (}. truuspnlata, tvnctln, fasifarmis,
cUiusa, etc.).
Les bydrolheques des I'LIMLLARID.K sont sessiles, en forme do coupes coniques,
courtes, a bord uni (flg. 'M, h, h'), prolongé eu bec ou denticulé ; il en existe de deux
sortes : de grau b- pour les ga-dorm-ndes et de petites pour les dactylomérides.
I! en est également am-i clt-z b-s t;bn,l^ ,-i les l),pt,„qnlh>it. Les petites bydrolheques
ont reçu le nom de n,.mnt,.phm:% ou de dmAylollicgues. Les nemalophoroa