Sudáfrica 2010 - FIFA.com

et Robben (Pays-Bas), Gyan (Ghana) ainsi que Forlán et
Suárez (Uruguay).
5) Le bon timing
Le timing de la passe est capital pour ne pas être mis
sous pression par plusieurs adversaires. Une transversale
adressée au bon moment va ainsi permettre au joueur qui
reçoit le ballon de disputer un un-contre-un, alors que si
elle n’est pas adressée au bon moment, le joueur risque
de se retrouver en infériorité numérique face à plusieurs
adversaires.
6) L’esprit offensif
Pour l’emporter, les équipes devaient faire preuve d’un
état d’esprit offensif et d’une capacité à déclencher des
contre-attaques rapides et maîtrisées.
7) La profondeur du banc
Auparavant
Anatoli Puzach (URSS) était lors de Mexique 1970 le
premier joueur de l’histoire de la Coupe du Monde à
2010 FIFA World Cup South Africa
entrer en cours de jeu. Notamment en raison de la chaleur
et de l’altitude, il était en effet possible pour chaque
équipe de remplacer deux joueurs durant le match – ce
qui auparavant n’était pas autorisé, même si un joueur
était blessé. En 1995 la FIFA (International Football
Association Board) a établi que trois changements seraient
dorénavant possibles, mesure qui a été appliquée pour la
première fois en Coupe du Monde en 1998.
Aujourd’hui
La qualité des grandes équipes se mesure également
à la qualité de leur banc, qui est souvent occupé par
des joueurs de niveau égal à celui des titulaires. Et les
sélectionneurs ne se privent pas de faire entrer ces
joueurs à la place de joueurs fatigués ou de modifi er
leur formation en raison du score. Le coaching s’est
notamment avéré payant avec par exemple Torres,
Fabregas, Llorente, David Silva, Navas (Espagne), Van der
Vaart, Elia, Huntelaar (Pays-Bas), Butt, Jansen, Cacau,
Aogo (Allemagne) ou encore Milito, Agüero et Verón
(Argentine).
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