06.10.2016 Views

Les Etats Unis et La Grande Bretagne selon la Prophetie Biblique

Depuis des centaines des années, les Etats-Unis et la Grande Bretagne dominent sur des affaires mondiales, comme deux superpuissances mondiales, avec une relation spéciale et intime. Ce livre présente le grand conflit aigu et spirituel derrière le rideau en exposant des forces célestes et infernales qui s’opposent à cause d’une révolte ancienne. Les mouvements religieux de l’origine divin, depuis l’éternité passée jusqu’à l’Age Médiévale, la Réforme, la Révolution anglaise, française et américaine, les Lumières, et la Réveille ont joué des rôles essentiaux, en ébranlant l’univers entier. Mais aujourd’hui, ils se trouvent en danger les idéales comme la vérité, la liberté individuelle, la liberté de conscience et du culte, valeurs pour quelles nos ancêtres se sont sacrifiés la vie. Affligée par des fléaux multiples, notre civilisation témoigne les développements cataclysmiques d’où on se prépare le terrain pour un climax merveilleux. Comme toute les empires, apparaissent-t-elles les écroulements imminentes à l’horizon ? Ces événements se déroulent-t-ils en réalisation aux prophéties bibliques ?

Depuis des centaines des années, les Etats-Unis et la Grande Bretagne dominent sur des affaires mondiales, comme deux superpuissances mondiales, avec une relation spéciale et intime. Ce livre présente le grand conflit aigu et spirituel derrière le rideau en exposant des forces célestes et infernales qui s’opposent à cause d’une révolte ancienne. Les mouvements religieux de l’origine divin, depuis l’éternité passée jusqu’à l’Age Médiévale, la Réforme, la Révolution anglaise, française et américaine, les Lumières, et la Réveille ont joué des rôles essentiaux, en ébranlant l’univers entier. Mais aujourd’hui, ils se trouvent en danger les idéales comme la vérité, la liberté individuelle, la liberté de conscience et du culte, valeurs pour quelles nos ancêtres se sont sacrifiés la vie. Affligée par des fléaux multiples, notre civilisation témoigne les développements
cataclysmiques d’où on se prépare le terrain pour un climax merveilleux. Comme toute les empires, apparaissent-t-elles les écroulements imminentes à l’horizon ? Ces événements se déroulent-t-ils en réalisation aux prophéties bibliques ?

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

L’auditoire était suspendu à ses lèvres. Le pain de vie était rompu à des âmes qui mouraient<br />

d’inanition. Le Sauveur était élevé à leurs yeux au-dessus des papes, des légats, des empereurs <strong>et</strong><br />

des rois. Luther ne fit aucune allusion à <strong>la</strong> situation périlleuse dans <strong>la</strong>quelle il se trouvait. Il ne fit<br />

rien pour attirer sur sa personne l’attention ou <strong>la</strong> sympathie. Se perdant de vue dans <strong>la</strong><br />

contemp<strong>la</strong>tion du Christ, il se cachait derrière l’Homme du Calvaire, en qui il voyait son<br />

Rédempteur.<br />

Continuant sa route, le réformateur était partout l’obj<strong>et</strong> du plus vif intérêt. Une foule avide<br />

se pressait autour de lui. Des voix amies l’avertissaient des desseins des romanistes : " On vous<br />

brûlera, lui disaiton, on réduira votre corps en cendres, comme on l’a fait de celui de Jean Hus. "<br />

Sa réponse était : " Quand ils feraient un feu qui s’étendrait de Worms à Wittenberg <strong>et</strong> qui<br />

s’élèverait jusqu’au ciel, au nom du Seigneur je le traverserais. Je paraîtrais devant eux, j’entrerais<br />

dans <strong>la</strong> gueule de ce Béhémoth, je briserais ses dents, <strong>et</strong> je confesserais le Seigneur Jésus-Christ."<br />

En apprenant qu’il approchait de Worms, les gens furent en effervescence. Ses amis<br />

tremb<strong>la</strong>ient pour sa sécurité ; ses ennemis craignaient pour leur cause. On s’efforça de le dissuader<br />

d’entrer dans <strong>la</strong> ville. A l’instigation des prêtres, il fut invité à se r<strong>et</strong>irer dans le château d’un<br />

chevalier sympathique à sa cause, où, lui assurait-on, toutes les difficultés pourraient être résolues<br />

amicalement. Des amis tentèrent d’exciter ses craintes en lui représentant les dangers auxquels il<br />

était exposé. Tout fut inutile. Inébran<strong>la</strong>ble, Luther répondit : " Quand même il y aurait autant de<br />

diables à Worms qu’il y a de tuiles sur les toits, j’y entrerais. "<br />

A son entrée dans <strong>la</strong> ville, l’animation fut intense : une grande foule lui souhaita <strong>la</strong><br />

bienvenue. L’empereur lui-même n’avait pas vu une aussi grande foule venir le saluer. Du milieu<br />

de <strong>la</strong> foule, une voix perçante <strong>et</strong> p<strong>la</strong>intive fit entendre le chant des morts pour avertir Luther du<br />

sort qui le menaçait. " Dieu sera ma défense " , dit-il en descendant de voiture. <strong>Les</strong> romanistes<br />

n’avaient pas cru que Luther oserait venir à Worms ; aussi son arrivée les plongea-t-elle dans <strong>la</strong><br />

consternation. L’empereur convoqua aussitôt ses conseillers afin de savoir quel parti prendre. L’un<br />

des évêques, papiste rigide, prenant <strong>la</strong> parole, s’écria : Nous nous sommes longuement consultés<br />

sur c<strong>et</strong>te affaire. Que votre Majesté impériale se débarrasse promptement de c<strong>et</strong> homme.<br />

Sigismond n’at- il pas fait brûler Jean Hus ? On n’est tenu ni de donner un sauf-conduit à un<br />

114

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!