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Les Etats Unis et La Grande Bretagne selon la Prophetie Biblique

Depuis des centaines des années, les Etats-Unis et la Grande Bretagne dominent sur des affaires mondiales, comme deux superpuissances mondiales, avec une relation spéciale et intime. Ce livre présente le grand conflit aigu et spirituel derrière le rideau en exposant des forces célestes et infernales qui s’opposent à cause d’une révolte ancienne. Les mouvements religieux de l’origine divin, depuis l’éternité passée jusqu’à l’Age Médiévale, la Réforme, la Révolution anglaise, française et américaine, les Lumières, et la Réveille ont joué des rôles essentiaux, en ébranlant l’univers entier. Mais aujourd’hui, ils se trouvent en danger les idéales comme la vérité, la liberté individuelle, la liberté de conscience et du culte, valeurs pour quelles nos ancêtres se sont sacrifiés la vie. Affligée par des fléaux multiples, notre civilisation témoigne les développements cataclysmiques d’où on se prépare le terrain pour un climax merveilleux. Comme toute les empires, apparaissent-t-elles les écroulements imminentes à l’horizon ? Ces événements se déroulent-t-ils en réalisation aux prophéties bibliques ?

Depuis des centaines des années, les Etats-Unis et la Grande Bretagne dominent sur des affaires mondiales, comme deux superpuissances mondiales, avec une relation spéciale et intime. Ce livre présente le grand conflit aigu et spirituel derrière le rideau en exposant des forces célestes et infernales qui s’opposent à cause d’une révolte ancienne. Les mouvements religieux de l’origine divin, depuis l’éternité passée jusqu’à l’Age Médiévale, la Réforme, la Révolution anglaise, française et américaine, les Lumières, et la Réveille ont joué des rôles essentiaux, en ébranlant l’univers entier. Mais aujourd’hui, ils se trouvent en danger les idéales comme la vérité, la liberté individuelle, la liberté de conscience et du culte, valeurs pour quelles nos ancêtres se sont sacrifiés la vie. Affligée par des fléaux multiples, notre civilisation témoigne les développements
cataclysmiques d’où on se prépare le terrain pour un climax merveilleux. Comme toute les empires, apparaissent-t-elles les écroulements imminentes à l’horizon ? Ces événements se déroulent-t-ils en réalisation aux prophéties bibliques ?

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Un chroniqueur du temps, Simon Fontaine, docteur de Sorbonne, nous en a <strong>la</strong>issé le récit détaillé.<br />

Le 21 janvier 1535, une foule innombrable était rassemblée de toute <strong>la</strong> contrée environnante. " Il<br />

n’y avait tant soit p<strong>et</strong>it bout de bois ou de pierre sail<strong>la</strong>nt des muraillesqui ne fût chargé, pourvu<br />

qu’il y eût p<strong>la</strong>ce pour une personne. <strong>Les</strong> toits des maisons étaient couverts d’hommes p<strong>et</strong>its <strong>et</strong><br />

grands, <strong>et</strong> on eût jugé les rues pavées de têtes humaines. Jamais tant de reliques n’avaient été<br />

promenées par les rues de Paris. " (G. de Félice, Histoire des Protestants de France, p. 46, 47.)<br />

<strong>Les</strong> reliques passées, venaient un grand nombre de cardinaux, archevêques, évêques, abbés<br />

chapés <strong>et</strong> mitrés. Puis, sous un dais magnifique, dont les quatre bâtons étaient tenus par les trois<br />

fils du roi <strong>et</strong> le duc de Vendôme, premier prince du sang, se trouvait l’hostie portée par l’évêque<br />

de Paris. … Alors paraissait enfin François Ier, sans faste, à pied, tête nue, une torche ardente à <strong>la</strong><br />

main, comme un pénitent chargé d’expier les sacrilèges de son peuple. A chaque reposoir, il<br />

rem<strong>et</strong>tait sa torche au cardinal de Lorraine, joignait les mains <strong>et</strong> se prosternait, s’humiliant, non<br />

pour ses adultères, ses mensonges ou ses faux serments, il n’y pensait pas, mais pour l’audace de<br />

ceux qui ne vou<strong>la</strong>ient pas <strong>la</strong> messe. Il était suivi de <strong>la</strong> reine, des princes <strong>et</strong> princesses, des<br />

ambassadeurs étrangers, de toute <strong>la</strong> cour, du chancelier de France, du Conseil, du Parlement en<br />

robes écar<strong>la</strong>tes, de l’Université, des autres compagnies de sa garde. Tous marchaient deux à deux,<br />

„donnant toutes les marques d’une piété extraordinaire" , chacun, dans un profond silence, tenant<br />

son f<strong>la</strong>mbeau allumé. Des chants spirituels <strong>et</strong> des airs funèbres interrompaient seuls, de temps en<br />

temps, le calme de c<strong>et</strong>te morne <strong>et</strong> lente procession. " (Merle d’Aubigné, Hist. de <strong>la</strong> Réformation<br />

au temps de Calvin, liv. IV, chap. XI, p. 169, 170.)<br />

Au programme figurait un discours du roi devant les dignitaires de l’Etat, dans <strong>la</strong> grande<br />

salle de l’archevêché. L’air désolé, le monarque prit <strong>la</strong> parole : " O crime ! dit-il, ô b<strong>la</strong>sphème ! ô<br />

jour de douleur <strong>et</strong> d’opprobre ! pourquoi a-t-il fallu que vous ayez lui sur nous ? … " (Id., p. 175)<br />

Il invita tous ses fidèles suj<strong>et</strong>s à le seconder dans ses efforts en vue d’extirper l’hérésie pestilentielle<br />

qui menaçait <strong>la</strong> France. " Aussi vrai, Messieurs, continua-t-il, que je suis votre roi, si je savais l’un<br />

de mes propres membres maculé, infecté de c<strong>et</strong>te détestable pourriture, je vous le donnerais à<br />

couper. … Bien plus, si j’apercevais un de mes enfants entaché, je ne l’épargnerais pas. … Je le<br />

voudrais bailler moi-même <strong>et</strong> je le sacrifierais à Dieu. " (Id., p. 176, 177.) 1l s’arrêta suffoqué par<br />

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