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Les Etats Unis et La Grande Bretagne selon la Prophetie Biblique

Depuis des centaines des années, les Etats-Unis et la Grande Bretagne dominent sur des affaires mondiales, comme deux superpuissances mondiales, avec une relation spéciale et intime. Ce livre présente le grand conflit aigu et spirituel derrière le rideau en exposant des forces célestes et infernales qui s’opposent à cause d’une révolte ancienne. Les mouvements religieux de l’origine divin, depuis l’éternité passée jusqu’à l’Age Médiévale, la Réforme, la Révolution anglaise, française et américaine, les Lumières, et la Réveille ont joué des rôles essentiaux, en ébranlant l’univers entier. Mais aujourd’hui, ils se trouvent en danger les idéales comme la vérité, la liberté individuelle, la liberté de conscience et du culte, valeurs pour quelles nos ancêtres se sont sacrifiés la vie. Affligée par des fléaux multiples, notre civilisation témoigne les développements cataclysmiques d’où on se prépare le terrain pour un climax merveilleux. Comme toute les empires, apparaissent-t-elles les écroulements imminentes à l’horizon ? Ces événements se déroulent-t-ils en réalisation aux prophéties bibliques ?

Depuis des centaines des années, les Etats-Unis et la Grande Bretagne dominent sur des affaires mondiales, comme deux superpuissances mondiales, avec une relation spéciale et intime. Ce livre présente le grand conflit aigu et spirituel derrière le rideau en exposant des forces célestes et infernales qui s’opposent à cause d’une révolte ancienne. Les mouvements religieux de l’origine divin, depuis l’éternité passée jusqu’à l’Age Médiévale, la Réforme, la Révolution anglaise, française et américaine, les Lumières, et la Réveille ont joué des rôles essentiaux, en ébranlant l’univers entier. Mais aujourd’hui, ils se trouvent en danger les idéales comme la vérité, la liberté individuelle, la liberté de conscience et du culte, valeurs pour quelles nos ancêtres se sont sacrifiés la vie. Affligée par des fléaux multiples, notre civilisation témoigne les développements
cataclysmiques d’où on se prépare le terrain pour un climax merveilleux. Comme toute les empires, apparaissent-t-elles les écroulements imminentes à l’horizon ? Ces événements se déroulent-t-ils en réalisation aux prophéties bibliques ?

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leurs dogmes, qu’il s’instruise sur <strong>la</strong> manière dont Rome a traité le sabbat de 1’Eternel <strong>et</strong> ses<br />

défenseurs.<br />

Des édits royaux, des décisions de conciles généraux, des ordonnances de l’Eglise appuyées<br />

par le pouvoir séculier, tels sont les moyens qui furent employés pour donner à une fête païenne<br />

une p<strong>la</strong>ce d’honneur dans le monde chrétien. <strong>La</strong> première disposition légale en faveur du dimanche<br />

fut l’édit de Constantin. (En 321 de notre ère. Voir Appendice.) Aux termes de c<strong>et</strong> édit, les<br />

habitants des villes devaient se reposer “ au jour vénérable du soleil ” , tandis que les gens de <strong>la</strong><br />

campagne pouvaient vaquer à leurs occupations ordinaires. Bien que c<strong>et</strong> édit fût virtuellement<br />

païen, il fut promulgué par Constantin après son adhésion au christianisme.<br />

Estimant sans doute que le décr<strong>et</strong> impérial n’était pas suffisant pour suppléer à l’absence de<br />

tout ordre divin, l’évêque opportuniste de Césarée, grand ami <strong>et</strong> f<strong>la</strong>tteur de l’empereur, prétendit<br />

que Jésus avait transféré le repos du sabbat au dimanche. Eusèbe reconnaît involontairement être<br />

incapable de produire un seul témoignage scripturaire en faveur de <strong>la</strong> nouvelle institution <strong>et</strong> signale<br />

les auteurs réels du changement, en ajoutant : “ Tout ce qui devait se faire le jour du sabbat, nous<br />

l’avons transféré sur le jour du Seigneur. ” (Eusèbe de Césarée, Commentaire sur le Psume 92 -<br />

Patralogie Migne, tome XXIII, col. 1172. P<strong>et</strong>it Montrouge, Paris 1887.) L’argument en faveur du<br />

dimanche, quelque faible qu’il fût, servit néanmoins à enhardir les hommes à fouler aux pieds le<br />

sabbat de L’Éternel. Tous ceux qui désiraient pactiser avec le monde acceptèrent <strong>la</strong> fête popu<strong>la</strong>ire.<br />

L’affermissement de <strong>la</strong> papauté <strong>et</strong> l’exaltation du dimanche progressent parallèlement.<br />

Pendant quelque temps, les gens de <strong>la</strong> campagne continuèrent à s’occuper de leurs travaux en<br />

dehors des heures du culte, <strong>et</strong> le septième jour fut encore considéré comme le jour du repos. Mais,<br />

graduellement, un changement se produisit. On défendit aux magis-trats le dimanche, de prononcer<br />

aucun jugement sur des causes civiles. Bientôt les gens de toute catégorie reçurent l’ordre de<br />

s’abstenir de toute oeuvre servile, sous peine d’amende pour les hommes libres, <strong>et</strong> de <strong>la</strong> f<strong>la</strong>gel<strong>la</strong>tion<br />

pour les serviteurs. Plus tard, les dispositions de <strong>la</strong> loi exigèrent que les riches coupables<br />

abandonnassent <strong>la</strong> moitié de leurs biens <strong>et</strong> que, s’ils s’obstinaient à transgresser le dimanche, ils<br />

fussent réduits en servitude. <strong>Les</strong> gens des c<strong>la</strong>sses inférieures étaient punis d’un exil perpétuel.<br />

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